Blessée par le jugement de la FIA et le départ de deux commanditaires, l’écurie Renault pourrait être achetée par le Britannique David Richards (photo).
Plusieurs médias, dont l’agence de nouvelles allemande SID et la BBC affirment que le patron de Prodrive et d’Aston Martin, David Richards, serait prêt à acheter l’écurie franco-britannique.
La BBC ajoute que Richards, qui a mené l’écurie Benetton (devenue Renault) durant les années 90, serait disposé à l’acquérir pour la somme de 50$ millions US.
L’agence SID ajoute que Richards a rencontré le grand patron des automobiles Renault, Carlos Ghosn, au Salon de l’auto de Francfort, en plus de visiter les installations d’Enstone.
C’est le directeur de la communication de l’écurie Renault, Jean-François Caubet, qui occupe – temporairement - le poste de directeur général.
Il a rencontré la presse jeudi. Il a avoué que l’écurie avait perdu de sa culture.
« Il faut que cette écurie retrouve sa culture Renault. On ne veut pas retomber dans les travers des années 1980, où le siège contrôlait l'écurie. Mais on ne veut pas non plus tomber dans les quelques erreurs que l'on a faites en laissant l'autonomie à 100% à l'écurie, » de dire Caubet.
Il ajoute que la structure actuelle est temporaire. « On a voulu faire vite et mettre en place une organisation transitoire avec deux responsables, Bob Bell et moi-même, parce que l'écurie tourne bien. Évidemment, elle a subi un choc douloureux et humiliant. Mais elle tourne, » d’ajouter Caubet.
Caubet précise : « Lorsque nous nous sommes rendu compte que nous étions coupables, nous avions une décision à prendre. Soit nous décidions de ne pas traverser le feu, soit le contraire. On a fini par traverser le feu. On en est sorti carbonisé, c'est vrai. L'image de l'écurie a été fortement touchée. On a eu une très mauvaise presse. »
Caubet n’a pas voulu parler de l’avenir de Renault en Formule 1. Mais certains mots ne mentent pas. « On est quand même en tension parce que ING (le principal commanditaire de Renault) nous quitte, les commandites et les financements sont difficiles, même chose du futur d'Alonso, des équilibres et du modèle d'affaires de la F1 à plus long terme... Il y a des questions sérieuses qu'il faut se poser et auxquelles nous devons trouver des réponses. »
Plusieurs médias, dont l’agence de nouvelles allemande SID et la BBC affirment que le patron de Prodrive et d’Aston Martin, David Richards, serait prêt à acheter l’écurie franco-britannique.
La BBC ajoute que Richards, qui a mené l’écurie Benetton (devenue Renault) durant les années 90, serait disposé à l’acquérir pour la somme de 50$ millions US.
L’agence SID ajoute que Richards a rencontré le grand patron des automobiles Renault, Carlos Ghosn, au Salon de l’auto de Francfort, en plus de visiter les installations d’Enstone.
C’est le directeur de la communication de l’écurie Renault, Jean-François Caubet, qui occupe – temporairement - le poste de directeur général.
Il a rencontré la presse jeudi. Il a avoué que l’écurie avait perdu de sa culture.
« Il faut que cette écurie retrouve sa culture Renault. On ne veut pas retomber dans les travers des années 1980, où le siège contrôlait l'écurie. Mais on ne veut pas non plus tomber dans les quelques erreurs que l'on a faites en laissant l'autonomie à 100% à l'écurie, » de dire Caubet.
Il ajoute que la structure actuelle est temporaire. « On a voulu faire vite et mettre en place une organisation transitoire avec deux responsables, Bob Bell et moi-même, parce que l'écurie tourne bien. Évidemment, elle a subi un choc douloureux et humiliant. Mais elle tourne, » d’ajouter Caubet.
Caubet précise : « Lorsque nous nous sommes rendu compte que nous étions coupables, nous avions une décision à prendre. Soit nous décidions de ne pas traverser le feu, soit le contraire. On a fini par traverser le feu. On en est sorti carbonisé, c'est vrai. L'image de l'écurie a été fortement touchée. On a eu une très mauvaise presse. »
Caubet n’a pas voulu parler de l’avenir de Renault en Formule 1. Mais certains mots ne mentent pas. « On est quand même en tension parce que ING (le principal commanditaire de Renault) nous quitte, les commandites et les financements sont difficiles, même chose du futur d'Alonso, des équilibres et du modèle d'affaires de la F1 à plus long terme... Il y a des questions sérieuses qu'il faut se poser et auxquelles nous devons trouver des réponses. »