L'Espagnol Fernando Alonso, dont la venue chez Ferrari a été annoncée mercredi par l'écurie italienne de Formule 1, a été choisi aux dépens du Finlandais Kimi Räikkönen entre autres pour son "charisme" et son "leadership", a indiqué le directeur de Ferrari, Stefano Domenicali.
"Beaucoup de facteurs entrent en compte. On ne prend jamais une telle décision pour une seule raison", a expliqué l'Italien.
"Nous savons que l'une des (particularités) de Fernando, que nous attendons pour le futur, est qu'il est très charismatique", a poursuivi Domenicali, ajoutant, dans la même veine, que le "leadership" était "l'une de ses principales caractéristiques".
Alonso, né il y a plus de 28 ans à Oviedo (Nord de l'Espagne), est plus "latin", a constaté Stefano Domenicali. A l'inverse, "Kimi est Finlandais et a une approche plus pragmatique" de la Formule 1, selon le directeur technique de Ferrari.
"On ne m'entendra jamais parler négativement de Kimi. Il est très talentueux, c'est un grand champion. Il fait partie de l'histoire de Ferrari. Il a gagné le titre (en 2007), c'était l'un de ses objectifs avec nous", a rappelé Stefano Domenicali.
Taiseux, renfermé, à la limite du mutisme, Kimi Räikkönen, se distingue moins par la richesse de son vocabulaire que par son coup de volant. Le Finlandais, qui ne sourit presque jamais et murmure plus qu'il ne parle, a hérité du surnom d'"Iceman", l'homme de glace.
A l'inverse, Alonso, auréolé de ses deux sacres en 2005 et 2006, est l'un des rares pilotes du plateau à s'affranchir des consignes des chargés de communication de son écurie, ce qui le rend plus vivant et sympathique que nombre de ses congénères.
Ferrari a officialisé mercredi la venue pour trois ans d'Alonso, pour un montant non divulgué. La radio espagnole Cadena Ser a évoqué un salaire de 25 millions d'euros annuels pour le champion, ce que Domenicali a exclu, qualifiant cette estimation de "totalement incorrecte et hors de la réalité".
"La réduction des budgets affecte aussi les salaires des pilotes", a-t-il remarqué.
"Beaucoup de facteurs entrent en compte. On ne prend jamais une telle décision pour une seule raison", a expliqué l'Italien.
"Nous savons que l'une des (particularités) de Fernando, que nous attendons pour le futur, est qu'il est très charismatique", a poursuivi Domenicali, ajoutant, dans la même veine, que le "leadership" était "l'une de ses principales caractéristiques".
Alonso, né il y a plus de 28 ans à Oviedo (Nord de l'Espagne), est plus "latin", a constaté Stefano Domenicali. A l'inverse, "Kimi est Finlandais et a une approche plus pragmatique" de la Formule 1, selon le directeur technique de Ferrari.
"On ne m'entendra jamais parler négativement de Kimi. Il est très talentueux, c'est un grand champion. Il fait partie de l'histoire de Ferrari. Il a gagné le titre (en 2007), c'était l'un de ses objectifs avec nous", a rappelé Stefano Domenicali.
Taiseux, renfermé, à la limite du mutisme, Kimi Räikkönen, se distingue moins par la richesse de son vocabulaire que par son coup de volant. Le Finlandais, qui ne sourit presque jamais et murmure plus qu'il ne parle, a hérité du surnom d'"Iceman", l'homme de glace.
A l'inverse, Alonso, auréolé de ses deux sacres en 2005 et 2006, est l'un des rares pilotes du plateau à s'affranchir des consignes des chargés de communication de son écurie, ce qui le rend plus vivant et sympathique que nombre de ses congénères.
Ferrari a officialisé mercredi la venue pour trois ans d'Alonso, pour un montant non divulgué. La radio espagnole Cadena Ser a évoqué un salaire de 25 millions d'euros annuels pour le champion, ce que Domenicali a exclu, qualifiant cette estimation de "totalement incorrecte et hors de la réalité".
"La réduction des budgets affecte aussi les salaires des pilotes", a-t-il remarqué.