Aaah, la poésie du tractor pulling...
Le principe se résume en quelques mots : il faut tracter une remorque faisant jusqu'à 29 tonnes sur une piste en terre faisant environ cent mètres, celui allant le plus loin, gagne.
Pour cela, il existe un nombre incalculable de catégories, mais celle qui nous intéresse aujourd'hui est la Super Stock, où des engins rassemblant à peu près aux tracteurs de nos campagnes se voient équipés de moteurs à 6 ou 8 cylindres en ligne pouvant dépasser les 5 000ch...
Il n'y a pas beaucoup de méthode pour arriver à de telles puissances, il faut de la pression, beaucoup de pression, plus de 14 bars fournis par parfois pas moins de quatre turbos gros comme des pastèques. Ajoutez à ça le méthanol qui sert de carburant, et vous avez une idée du désastre qui attend tapi dans l'ombre.
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Sur des moteurs suralimentés conventionnels, en augmentant raisonnablement la pression du turbo vous risquez un joint de culasse, peut-être une culasse vrillée, mais rarement plus. Ici, la donne est légèrement différente : une belle boule de feu se charge de mettre le capot sur orbite et laisse le bloc ouvert en deux, permettant aux spectateurs aux yeux écarquillés de contempler pistons, bielles, vilebrequin et arbre à came.
Le principe se résume en quelques mots : il faut tracter une remorque faisant jusqu'à 29 tonnes sur une piste en terre faisant environ cent mètres, celui allant le plus loin, gagne.
Pour cela, il existe un nombre incalculable de catégories, mais celle qui nous intéresse aujourd'hui est la Super Stock, où des engins rassemblant à peu près aux tracteurs de nos campagnes se voient équipés de moteurs à 6 ou 8 cylindres en ligne pouvant dépasser les 5 000ch...
Il n'y a pas beaucoup de méthode pour arriver à de telles puissances, il faut de la pression, beaucoup de pression, plus de 14 bars fournis par parfois pas moins de quatre turbos gros comme des pastèques. Ajoutez à ça le méthanol qui sert de carburant, et vous avez une idée du désastre qui attend tapi dans l'ombre.
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