Le châssis de la voiture de Timo Glock a été endommagé lors de son très violent accident samedi en qualifications à Suzuka et doit être changé, ce qui signifie que l'Allemand partira automatiquement des stands s'il court dimanche, a-t-on appris auprès de Toyota.
Timo Glock, qui se remettait d'un mauvais rhume l'ayant empêché de disputer les essais libres vendredi, s'est en outre fait poser "quatorze points de suture" à l'arrière de la jambe gauche, ce qui le rend incertain pour le Grand Prix du Japon dimanche, selon un porte-parole de Toyota F1.
S'il devait ne pas courir, le troisième pilote, le Japonais Kamui Kobayashi, qui a effectué les essais libres vendredi à la place de Glock, pourrait remplacer l'Allemand, à condition que les commissaires de course l'acceptent et que toutes les écuries du plateau accordent à Toyota une dérogation en ce sens.
"Mais la priorité, c'est Timo. Pour le reste, nous verrons demain", a observé ce porte-parole, ajoutant qu'"aucune raison technique" n'expliquait l'incident, dont l'Allemand était seul responsable.
Alors qu'il était septième de la Q2, Timo Glock est sorti de sa trajectoire dans la courbe rapide précédant la ligne droite des stands et est entré en biais dans le mur de protection, ce qui a entraîné une neutralisation des qualifications.
Glock a immédiatement retiré son volant mais a éprouvé des difficultés à sortir de son cockpit. Le pilote Toyota a ensuite été transporté par des infirmiers dans une ambulance au centre médical du circuit, puis à l'hôpital.
"Il va bien. Les examens n'ont rien révélé", avait expliqué le président de Toyota F1, John Howett, après les faits.
Timo Glock, qui se remettait d'un mauvais rhume l'ayant empêché de disputer les essais libres vendredi, s'est en outre fait poser "quatorze points de suture" à l'arrière de la jambe gauche, ce qui le rend incertain pour le Grand Prix du Japon dimanche, selon un porte-parole de Toyota F1.
S'il devait ne pas courir, le troisième pilote, le Japonais Kamui Kobayashi, qui a effectué les essais libres vendredi à la place de Glock, pourrait remplacer l'Allemand, à condition que les commissaires de course l'acceptent et que toutes les écuries du plateau accordent à Toyota une dérogation en ce sens.
"Mais la priorité, c'est Timo. Pour le reste, nous verrons demain", a observé ce porte-parole, ajoutant qu'"aucune raison technique" n'expliquait l'incident, dont l'Allemand était seul responsable.
Alors qu'il était septième de la Q2, Timo Glock est sorti de sa trajectoire dans la courbe rapide précédant la ligne droite des stands et est entré en biais dans le mur de protection, ce qui a entraîné une neutralisation des qualifications.
Glock a immédiatement retiré son volant mais a éprouvé des difficultés à sortir de son cockpit. Le pilote Toyota a ensuite été transporté par des infirmiers dans une ambulance au centre médical du circuit, puis à l'hôpital.
"Il va bien. Les examens n'ont rien révélé", avait expliqué le président de Toyota F1, John Howett, après les faits.