Pat Symonds s’est joint à Flavio Briatore en faisant également appel de sa pénalité infligée par la FIA, selon un journal britannique.
Suite au scandale de Singapour de 2008, la FIA avait exclu Flavio Briatore à vie du sport automobile, alors que Pat Symonds avait écopé d’un bannissement de cinq ans.
Le mois dernier, Flavio Briatore a confirmé qu’il ferait appel de la décision de la FIA devant le Tribunal de Grande Instance de Paris, dont l’audience est prévue le 24 novembre, et qu’il réclamerait également un million d’euros de dommages et intérêts.
Cependant, The Guardian rapporte que l’Italien ne sera pas seul à attaquer la FIA puisque Pat Symonds s’est joint à ses côtés. Le journal britannique cite des documents légaux, où Pat Symonds indique que la FIA a mené l’audience du Conseil Mondial du Sport Automobile (CMSA) "d’une manière incorrecte".
"Les décisions de mener à bien une enquête et de la soumettre au Conseil Mondial ont été prises par la même personne, Max Mosley, le président de la FIA," ajoute le communiqué de Flavio Briatore.
L’Italien s’attaque tout particulièrement à Max Mosley, auquel il reproche d’avoir "assumé les rôles de plaignant, enquêteur, procureur et juge". Il fait également un lien entre le résultat de l’audience et le rôle qu’il a joué pendant la saison dans le conflit opposant la FIA à la FOTA.
Flavio Briatore questionne aussi l’éligibilité de son ami et partenaire d’affaires Bernie Ecclestone à voter à l’audience du CMSA, en raison du souhait du Britannique à "être hostile" à son encontre ainsi qu’à voir Renault échapper à de lourdes sanctions.
Les semaines précédant l’audience, Bernie Ecclestone, grand argentier de la Formule 1, avait en effet indiqué que seul Flavio Briatore était responsable, souhaitant une pénalité clémente à l’encontre de l’équipe Renault pour ne pas perdre un autre constructeur automobile.
Suite au scandale de Singapour de 2008, la FIA avait exclu Flavio Briatore à vie du sport automobile, alors que Pat Symonds avait écopé d’un bannissement de cinq ans.
Le mois dernier, Flavio Briatore a confirmé qu’il ferait appel de la décision de la FIA devant le Tribunal de Grande Instance de Paris, dont l’audience est prévue le 24 novembre, et qu’il réclamerait également un million d’euros de dommages et intérêts.
Cependant, The Guardian rapporte que l’Italien ne sera pas seul à attaquer la FIA puisque Pat Symonds s’est joint à ses côtés. Le journal britannique cite des documents légaux, où Pat Symonds indique que la FIA a mené l’audience du Conseil Mondial du Sport Automobile (CMSA) "d’une manière incorrecte".
"Les décisions de mener à bien une enquête et de la soumettre au Conseil Mondial ont été prises par la même personne, Max Mosley, le président de la FIA," ajoute le communiqué de Flavio Briatore.
L’Italien s’attaque tout particulièrement à Max Mosley, auquel il reproche d’avoir "assumé les rôles de plaignant, enquêteur, procureur et juge". Il fait également un lien entre le résultat de l’audience et le rôle qu’il a joué pendant la saison dans le conflit opposant la FIA à la FOTA.
Flavio Briatore questionne aussi l’éligibilité de son ami et partenaire d’affaires Bernie Ecclestone à voter à l’audience du CMSA, en raison du souhait du Britannique à "être hostile" à son encontre ainsi qu’à voir Renault échapper à de lourdes sanctions.
Les semaines précédant l’audience, Bernie Ecclestone, grand argentier de la Formule 1, avait en effet indiqué que seul Flavio Briatore était responsable, souhaitant une pénalité clémente à l’encontre de l’équipe Renault pour ne pas perdre un autre constructeur automobile.