Le quotidien New York Times indique ce matin que le nouveau contrat de trois ans de consultant de Michael Schumacher envers Ferrari "ne comporte pas d’indications l’empêchant d’envisager de piloter en course pour une équipe rivale."
Retour en 2006. Afin de préserver l’image du champion allemand, Luca di Montezemolo propose à Willy Weber, l’agent de Schumacher, un contrat de consultant exclusif de trois ans d’une valeur de 15 millions d’euros au total. En 2009, lorsque les modalités d’un nouveau contrat ont été entrevues, à la fin de l’été 2009, l’objectif de la Scuderia était de faire baisser le montant de son consultant de luxe à 3,5 millions d’euros par an.
Clairement, Stefano Domenicali estime que le septuple champion du monde n’est plus une valeur étalon en matière de mise au point car sa dernière séance officielle remonte fin 2007. L’idée d’alors, pour garder ce grand champion, est de lui proposer un contrat de consultant pour les voitures de séries, en guise d'amitié de longue date avec la Scuderia.
Sauf que le New York Times précise qu’une source proche du pilote allemand indique que "la Scuderia Ferrari ne pourra pas s’opposer aux désirs de Schumacher de décider de piloter pour Mercedes. Cette perspective, cependant, est considérée comme très improbable."
Ce qui laisse à penser que cette campagne de communication est destinée à permettre à Michael Schumacher de signer le même type de contrat d'exclusivité qu’en 2007. Car dans le nouveau contrat, qui n’est pas encore signé, la clause d’exclusivité entre les deux parties a volé en éclats sous prétexte d’une collaboration de longue date.
Weber utilise ainsi cette période fragile des transferts pour obtenir gains de cause: 1 ou 1,5 millions d’euros de plus pour son client. Un retour en compétition n’est pas envisageable pour Michael Schumacher, mais il est inimaginable que Ferrari, sous pression de la banco Sanrander, maintienne un contrat de consultant F1 au septuple champion du monde. A suivre...
Retour en 2006. Afin de préserver l’image du champion allemand, Luca di Montezemolo propose à Willy Weber, l’agent de Schumacher, un contrat de consultant exclusif de trois ans d’une valeur de 15 millions d’euros au total. En 2009, lorsque les modalités d’un nouveau contrat ont été entrevues, à la fin de l’été 2009, l’objectif de la Scuderia était de faire baisser le montant de son consultant de luxe à 3,5 millions d’euros par an.
Clairement, Stefano Domenicali estime que le septuple champion du monde n’est plus une valeur étalon en matière de mise au point car sa dernière séance officielle remonte fin 2007. L’idée d’alors, pour garder ce grand champion, est de lui proposer un contrat de consultant pour les voitures de séries, en guise d'amitié de longue date avec la Scuderia.
Sauf que le New York Times précise qu’une source proche du pilote allemand indique que "la Scuderia Ferrari ne pourra pas s’opposer aux désirs de Schumacher de décider de piloter pour Mercedes. Cette perspective, cependant, est considérée comme très improbable."
Ce qui laisse à penser que cette campagne de communication est destinée à permettre à Michael Schumacher de signer le même type de contrat d'exclusivité qu’en 2007. Car dans le nouveau contrat, qui n’est pas encore signé, la clause d’exclusivité entre les deux parties a volé en éclats sous prétexte d’une collaboration de longue date.
Weber utilise ainsi cette période fragile des transferts pour obtenir gains de cause: 1 ou 1,5 millions d’euros de plus pour son client. Un retour en compétition n’est pas envisageable pour Michael Schumacher, mais il est inimaginable que Ferrari, sous pression de la banco Sanrander, maintienne un contrat de consultant F1 au septuple champion du monde. A suivre...
