Avant de s'envoler pour la Californie pour le salon de l'automobile et pour assister au stage de préparation foncière destiné aux pilotes, Luca di Montezemolo a recentré ses hommes forts pour 2010 (Felipe Massa et Fernando Alonso), leur indiquant vivement de collaborer ensemble et d’éviter les débordements verbaux.
Depuis cette mise au point lors des Ferrari Wolrd Finals à Valencia (14-15 novembre), Alonso adopte une position d’humilité tandis que Massa couvre d’éloge la nouvelle recrue de Ferrari.
"Fernando Alonso est bon pour l’équipe Ferrari" lançait cette semaine Felipe Massa au Brésil. La flatterie n’étant pas son fort, le sous-entendu envers Kimi Raikkonen est perceptible. A Maranello, un technicien du service F1 de la Scuderia révélait qu’en dépit d’avoir remporté son titre en 2007, "la relation entre Raikkonen et la marque italienne s'est rapidement détériorée".
Sous couvert de l'anonymat, il pointe du doigt la motivation du Finlandais et son engagement : "En deux jours Alonso a visité tous les services de l’usine de Maranello, c’est deux fois plus que certains en deux ans."
"C’est une question de personnalité, car Kimi est le genre de personne qui montre peu d’émotion. Il garde tout à l’intérieur. Ces choses là ne contribuent pas à l’échange d’information au sein de l’équipe", ajoute Luca di Montezemolo auprès de l’agence de presse GMM.
RAIKKONEN SE DEFEND
Sauf que du coté du clan Raikkonen, ses réflexions ne plaisent pas. Le duo Robertson (les agents du pilote) n’apprécient pas vraiment cette campagne de presse contre l’image de leur pilote. En "off", le champion du monde et ses agents reprochent deux choses à Ferrari: l’avoir abandonné deux fois.
Une première fois en 2008, alors qu'il ne s’adaptait pas à la conduite de la F2008, les membres de l’équipe se sont tournés vers Felipe Massa pour le titre mondial.
Une deuxième fois en 2009, après l’accident de Felipe Massa (25 juillet). L’équipe a davantage épaulé Luca Badoer, puis Giancarlo Fisichella plutôt que le Finlandais, signe que le divorce était consommé. La victoire du Grand Prix de Belgique a conforté cette hypothèse envers son champion du monde. "Seul son ingénieur de course (Dyer) le soutenait dans les débriefings" , selon des sources concordantes.
Avec les indemnités de licenciement en jeu (on parle de 25 à 40M€), la tension reste palpable entre les deux clans.
Depuis cette mise au point lors des Ferrari Wolrd Finals à Valencia (14-15 novembre), Alonso adopte une position d’humilité tandis que Massa couvre d’éloge la nouvelle recrue de Ferrari.
"Fernando Alonso est bon pour l’équipe Ferrari" lançait cette semaine Felipe Massa au Brésil. La flatterie n’étant pas son fort, le sous-entendu envers Kimi Raikkonen est perceptible. A Maranello, un technicien du service F1 de la Scuderia révélait qu’en dépit d’avoir remporté son titre en 2007, "la relation entre Raikkonen et la marque italienne s'est rapidement détériorée".
Sous couvert de l'anonymat, il pointe du doigt la motivation du Finlandais et son engagement : "En deux jours Alonso a visité tous les services de l’usine de Maranello, c’est deux fois plus que certains en deux ans."
"C’est une question de personnalité, car Kimi est le genre de personne qui montre peu d’émotion. Il garde tout à l’intérieur. Ces choses là ne contribuent pas à l’échange d’information au sein de l’équipe", ajoute Luca di Montezemolo auprès de l’agence de presse GMM.
RAIKKONEN SE DEFEND
Sauf que du coté du clan Raikkonen, ses réflexions ne plaisent pas. Le duo Robertson (les agents du pilote) n’apprécient pas vraiment cette campagne de presse contre l’image de leur pilote. En "off", le champion du monde et ses agents reprochent deux choses à Ferrari: l’avoir abandonné deux fois.
Une première fois en 2008, alors qu'il ne s’adaptait pas à la conduite de la F2008, les membres de l’équipe se sont tournés vers Felipe Massa pour le titre mondial.
Une deuxième fois en 2009, après l’accident de Felipe Massa (25 juillet). L’équipe a davantage épaulé Luca Badoer, puis Giancarlo Fisichella plutôt que le Finlandais, signe que le divorce était consommé. La victoire du Grand Prix de Belgique a conforté cette hypothèse envers son champion du monde. "Seul son ingénieur de course (Dyer) le soutenait dans les débriefings" , selon des sources concordantes.
Avec les indemnités de licenciement en jeu (on parle de 25 à 40M€), la tension reste palpable entre les deux clans.