Gérard Lopez, un investisseur basé au Luxembourg, est candidat à la reprise de Renault F1 dont l'avenir devrait se décider demain à Paris, a-t-il affirmé aujourd'hui à Monaco lors du Motor Sport Business Forum, un congrès des acteurs et parraineurs de la F1 et des sports mécaniques.
"Il y a des cycles. La situation actuelle de la F1, cette période de changement, crée des opportunités pour des nouvelles équipes et des nouveaux investisseurs", a déclaré M. Lopez, pour qui il est possible de "gagner plus d'argent" autour d'une écurie de F1.
"Si nous reprenions Renault F1, ce serait à part entière, en tant que team constructeur", a encore précisé le fondateur de Mangrove Capital Partners et président de Genii Capital, deux fonds de placements ayant investi ces dernières années dans les nouvelles technologies et sur internet.
M. Lopez a encore ajouté qu'il était aussi intéressé par "une autre équipe de F1," sans préciser laquelle.
"Ce n'est pas forcément l'écurie de F1 qui peut gagner de l'argent, mais toutes les activités générées autour de cette écurie. C'est un exercice de marketing", selon M. Lopez, qui participait à un panel de discussion sur "l'économie du sport automobile".
Le seul autre candidat pour la reprise de l'équipe Renault de F1, pour l'instant, est le Britannique David Richards, patron de Prodrive et actionnaire d'Aston Martin. A la différence de Lopez, Richards connaît bien la F1, pour avoir travaillé chez Benetton et British American Racing.
"Il y a des cycles. La situation actuelle de la F1, cette période de changement, crée des opportunités pour des nouvelles équipes et des nouveaux investisseurs", a déclaré M. Lopez, pour qui il est possible de "gagner plus d'argent" autour d'une écurie de F1.
"Si nous reprenions Renault F1, ce serait à part entière, en tant que team constructeur", a encore précisé le fondateur de Mangrove Capital Partners et président de Genii Capital, deux fonds de placements ayant investi ces dernières années dans les nouvelles technologies et sur internet.
M. Lopez a encore ajouté qu'il était aussi intéressé par "une autre équipe de F1," sans préciser laquelle.
"Ce n'est pas forcément l'écurie de F1 qui peut gagner de l'argent, mais toutes les activités générées autour de cette écurie. C'est un exercice de marketing", selon M. Lopez, qui participait à un panel de discussion sur "l'économie du sport automobile".
Le seul autre candidat pour la reprise de l'équipe Renault de F1, pour l'instant, est le Britannique David Richards, patron de Prodrive et actionnaire d'Aston Martin. A la différence de Lopez, Richards connaît bien la F1, pour avoir travaillé chez Benetton et British American Racing.