Dans un entretien au Figaro, Jean Todt fait le point deux mois après son élection. Le nouveau président de la FIA veut poursuivre la politique engagée par Max Mosley, notamment en terme de réduction des coûts en Formule 1.
Dans son programme de candidature, Jean Todt s'était engagé à poursuivre le travail engagé par son prédécesseur Max Mosley, à la tête de la Fédération Internationale de d'Automobile. Deux mois après son élection, Todt est revenu sur les priorités qui l'attendent concernant la mobilité et le sport. Au sujet de la Formule 1, il souhaite ainsi poursuivre la réduction des coûts engagée par Max Mosley pour éviter le départ d'autres constructeurs.
« La F1 coûte trop cher », clame-t-il d'entrée. « Je suis triste que Honda, BMW et Toyota soient partis, mais lorsque l'on dépense énormément et que les résultats ne sont pas là, c'est inéluctable. D'un autre côté, je trouve formidable que de nouvelles écuries se soient inscrites. »
Les mesures d'économie prises en F1 « ne sont pas suffisantes », selon lui. Todt prône ainsi une poursuite de cette baisse. « Je suis contre la limitation réglementaire des budgets, mais si nous voulons pérenniser la F1, il faut une vraie prise de conscience et des décisions fondamentales. »
Outre la F1, un autre domaine préoccupe également le nouveau président de la FIA : le rallye. Avec seulement deux constructeurs – Citroën et Ford – engagés, Jean Todt veut agir pour en attirer davantage. « Mais avant d'agir, il faut réfléchir et se parler », explique-t-il. « J'ai initié un groupe de travail, avec des experts comme Michèle Mouton, Guy Fréquelin ou encore Carlos Sainz, et nous agirons dès que possible. »
A peine installé place de la Concorde au siège de la FIA, Jean Todt semble déjà bien occupé pour pérenniser le sport automobile dans le temps. « Le sport automobile doit s'adapter à son époque », conclut-il. « À partir de là, il symbolisera le progrès. »
Dans son programme de candidature, Jean Todt s'était engagé à poursuivre le travail engagé par son prédécesseur Max Mosley, à la tête de la Fédération Internationale de d'Automobile. Deux mois après son élection, Todt est revenu sur les priorités qui l'attendent concernant la mobilité et le sport. Au sujet de la Formule 1, il souhaite ainsi poursuivre la réduction des coûts engagée par Max Mosley pour éviter le départ d'autres constructeurs.
« La F1 coûte trop cher », clame-t-il d'entrée. « Je suis triste que Honda, BMW et Toyota soient partis, mais lorsque l'on dépense énormément et que les résultats ne sont pas là, c'est inéluctable. D'un autre côté, je trouve formidable que de nouvelles écuries se soient inscrites. »
Les mesures d'économie prises en F1 « ne sont pas suffisantes », selon lui. Todt prône ainsi une poursuite de cette baisse. « Je suis contre la limitation réglementaire des budgets, mais si nous voulons pérenniser la F1, il faut une vraie prise de conscience et des décisions fondamentales. »
Outre la F1, un autre domaine préoccupe également le nouveau président de la FIA : le rallye. Avec seulement deux constructeurs – Citroën et Ford – engagés, Jean Todt veut agir pour en attirer davantage. « Mais avant d'agir, il faut réfléchir et se parler », explique-t-il. « J'ai initié un groupe de travail, avec des experts comme Michèle Mouton, Guy Fréquelin ou encore Carlos Sainz, et nous agirons dès que possible. »
A peine installé place de la Concorde au siège de la FIA, Jean Todt semble déjà bien occupé pour pérenniser le sport automobile dans le temps. « Le sport automobile doit s'adapter à son époque », conclut-il. « À partir de là, il symbolisera le progrès. »