Adrian Newey et Sam Michaels, directeurs techniques chez Red Bull et Williams respectivement, croient qu'il est temps de jeter un coup d'œil sur le tracé des circuits et non seulement sur la configuration des voitures lorsqu'il est question de favoriser les dépassements en Formule 1.
"Fondamentalement, je crois que les circuits sont probablement la plus grande influence," Newey explique au magazine Racecar Engineering, tel que rapporté par ITV. "C'est commode pour tout le monde de continuer à oublier ça, car il est considéré plus facile de changer les voitures que changer les circuits."
Les commentaires de Newey découlent de son appréciation des grands changements techniques entrés en vigueur avec la saison 2009, des changements qui étaient censés apporter davantage d'opportunités pour dépasser lors des Grands Prix.
Quant à son collègue Sam Michael, il reconnaît que la diminution des appuis aérodynamiques et le retour des pneus sans rainures ont été bénéfiques. Cependant, il faudrait maintenant regarder un peu moins du côté des monoplaces et un peu plus du côté des circuits visités par la Formule 1 au cours de l'année, car certains sont plus favorables que d'autres en ce qui concerne le spectacle.
"Il faut se demander pourquoi, lorsque vous vous rendez à Barcelone où personne ne dépasse, que vous puissiez prendre exactement les même voitures à Monza, Montréal ou Hockenheim et voir plein de dépassements," remarque Michaels.
"Fondamentalement, je crois que les circuits sont probablement la plus grande influence," Newey explique au magazine Racecar Engineering, tel que rapporté par ITV. "C'est commode pour tout le monde de continuer à oublier ça, car il est considéré plus facile de changer les voitures que changer les circuits."
Les commentaires de Newey découlent de son appréciation des grands changements techniques entrés en vigueur avec la saison 2009, des changements qui étaient censés apporter davantage d'opportunités pour dépasser lors des Grands Prix.
Quant à son collègue Sam Michael, il reconnaît que la diminution des appuis aérodynamiques et le retour des pneus sans rainures ont été bénéfiques. Cependant, il faudrait maintenant regarder un peu moins du côté des monoplaces et un peu plus du côté des circuits visités par la Formule 1 au cours de l'année, car certains sont plus favorables que d'autres en ce qui concerne le spectacle.
"Il faut se demander pourquoi, lorsque vous vous rendez à Barcelone où personne ne dépasse, que vous puissiez prendre exactement les même voitures à Monza, Montréal ou Hockenheim et voir plein de dépassements," remarque Michaels.
