1974-1996,marlboro mc laren
McLaren a remporté sept de ses huit titres de champion des Constructeurs sous les couleurs de Marlboro. Emerson Fittipaldi, James Hunt, Niki Lauda, Alain Prost et Ayrton Senna sont les grands pilotes de cette époque. Pendant un quart de siècle, il n'y eut qu'une seule exception : lors du Grand Prix du Portugal 1986, Keke Rosberg portait les couleurs de Marlboro Lights. Le cigarettier Philip Morris rejoignait ensuite Ferrari.
Les couleurs de Marlboro ont longtemps été associées à McLaren
1972, Lotus JPS
Les nostalgiques des années 1970 se souviennent de Ronnie Peterson dans sa Lotus John Players Special (JPS) noir et or. La marque de tabac est apparue sur la livrée Lotus en 1972, l'année du titre. L'association continua jusqu'en 1978, avec un nouveau trophée pour Mario Andretti. JPS revenait en 1982 et se retrouvait sur les livreés de Senna et Nigel Mansell, futurs champions du monde.
1975, Martini Brabham
Les bandes Martini, mythiques, étaient d'abord liées à Porsche en Endurance. Puis, en 1972 er 1973, elles firent leur apparition avec Tecno en F1. Bernie Ecclestone's et Brabham leur offrirent un peu plus d'exposition en 1975.
1988, Benetton
Géant du textile haut en couleurs, Benetton est parvenu à exporter son identité visuelle sur ses F1, après avoir repris Toleman. Ses teintes flamboyèrent dans le peloton jusqu'en 1991, avec l'arrivée de Camel comme sponsor n°1.
1968, Lotus Gold Leaf
Les puristes ont dû accuser le coup en voyant Lotus abandonner ses couleurs - jaune et vert - pour celles d'un annonceur. Mais le choc ne faisait qu'annoncer une nouvelle ère, celle de de l'argent dans le sport.
1991, Jordan 7 Up
7 Up étaient les trois caractères inscrits sur la première Jordan, la 191. La légende veut toujours qu'Eddie Jordan n'ait reçu que très peu d'argent de 7 Up, la marque de boisson gazeuse, et qu'il avait mis en gros cette marque sur sa livrée pour faire croire que l'écurie était riche. En 1992, les sponsors se bousculaient devant son motorhome.
La première BAR fut peut-être la livrée la plus curieuse de l'Histoire Sutton Images
1999, la BAR à fermeture éclair
British American Tobacco, qui racheta Ttrrell en 1998, avait initialement l'intention de faire une livrée Lucky Strike pour Jacques Villeneuve's et une 555 pour Ricardo Zonta's. Cela déplût à la FIA qui voulaient deux voitures identiques dans chaque équipe. Il fut alors décidé qu'une moitié de chaque voiture porterait les couleurs de chacune des marques.
1999, la Jordan "Buzzing Hornets"
Fumer tue, alors la F1 a restreint la publicité sur le tabac. Mais l'argent des cigarettiers continuait d'affluer, c'est ainsi que pour éviter d'écrire les mots Benson et Hedges sur ses flancs, Jordan lui préféra Buzzing Hornets, "Frelons Bourdonnant". Avec un visuel réussi de l'insecte menaçant, Benson & Hedge réussissait encore mieux son coup de pub que s'il était apparu en toutes lettres.
2006, McLaren
Le style bling-bling sévit en France actuellement, mais il était déjà à la mode avec McLaren et sa voiture qui en jette. Le manque de visibilité des sponsors et les risques d'éblouissement des pilotes ont rapidement mis un terme à l'expérience. Avant de lancer cette version, l'équipe en avait une autre, pour les essais privés. Ce qui permit de voir l'une des rares McLaren orangée. Mais c'était aussi les couleurs d'origine, à l'époque de Bruce McLaren.
1992, Williams Camel
Un design simple et efficace, parfaitement fini par le n°5 rouge sur la voiture de Nigel Mansell. Un succès aussi dans les ventes de miniatures, de circuits 24 et de véhicules télécommandés.
McLaren a remporté sept de ses huit titres de champion des Constructeurs sous les couleurs de Marlboro. Emerson Fittipaldi, James Hunt, Niki Lauda, Alain Prost et Ayrton Senna sont les grands pilotes de cette époque. Pendant un quart de siècle, il n'y eut qu'une seule exception : lors du Grand Prix du Portugal 1986, Keke Rosberg portait les couleurs de Marlboro Lights. Le cigarettier Philip Morris rejoignait ensuite Ferrari.
Les couleurs de Marlboro ont longtemps été associées à McLaren
1972, Lotus JPS
Les nostalgiques des années 1970 se souviennent de Ronnie Peterson dans sa Lotus John Players Special (JPS) noir et or. La marque de tabac est apparue sur la livrée Lotus en 1972, l'année du titre. L'association continua jusqu'en 1978, avec un nouveau trophée pour Mario Andretti. JPS revenait en 1982 et se retrouvait sur les livreés de Senna et Nigel Mansell, futurs champions du monde.
1975, Martini Brabham
Les bandes Martini, mythiques, étaient d'abord liées à Porsche en Endurance. Puis, en 1972 er 1973, elles firent leur apparition avec Tecno en F1. Bernie Ecclestone's et Brabham leur offrirent un peu plus d'exposition en 1975.
1988, Benetton
Géant du textile haut en couleurs, Benetton est parvenu à exporter son identité visuelle sur ses F1, après avoir repris Toleman. Ses teintes flamboyèrent dans le peloton jusqu'en 1991, avec l'arrivée de Camel comme sponsor n°1.
1968, Lotus Gold Leaf
Les puristes ont dû accuser le coup en voyant Lotus abandonner ses couleurs - jaune et vert - pour celles d'un annonceur. Mais le choc ne faisait qu'annoncer une nouvelle ère, celle de de l'argent dans le sport.
1991, Jordan 7 Up
7 Up étaient les trois caractères inscrits sur la première Jordan, la 191. La légende veut toujours qu'Eddie Jordan n'ait reçu que très peu d'argent de 7 Up, la marque de boisson gazeuse, et qu'il avait mis en gros cette marque sur sa livrée pour faire croire que l'écurie était riche. En 1992, les sponsors se bousculaient devant son motorhome.
La première BAR fut peut-être la livrée la plus curieuse de l'Histoire Sutton Images
1999, la BAR à fermeture éclair
British American Tobacco, qui racheta Ttrrell en 1998, avait initialement l'intention de faire une livrée Lucky Strike pour Jacques Villeneuve's et une 555 pour Ricardo Zonta's. Cela déplût à la FIA qui voulaient deux voitures identiques dans chaque équipe. Il fut alors décidé qu'une moitié de chaque voiture porterait les couleurs de chacune des marques.
1999, la Jordan "Buzzing Hornets"
Fumer tue, alors la F1 a restreint la publicité sur le tabac. Mais l'argent des cigarettiers continuait d'affluer, c'est ainsi que pour éviter d'écrire les mots Benson et Hedges sur ses flancs, Jordan lui préféra Buzzing Hornets, "Frelons Bourdonnant". Avec un visuel réussi de l'insecte menaçant, Benson & Hedge réussissait encore mieux son coup de pub que s'il était apparu en toutes lettres.
2006, McLaren
Le style bling-bling sévit en France actuellement, mais il était déjà à la mode avec McLaren et sa voiture qui en jette. Le manque de visibilité des sponsors et les risques d'éblouissement des pilotes ont rapidement mis un terme à l'expérience. Avant de lancer cette version, l'équipe en avait une autre, pour les essais privés. Ce qui permit de voir l'une des rares McLaren orangée. Mais c'était aussi les couleurs d'origine, à l'époque de Bruce McLaren.
1992, Williams Camel
Un design simple et efficace, parfaitement fini par le n°5 rouge sur la voiture de Nigel Mansell. Un succès aussi dans les ventes de miniatures, de circuits 24 et de véhicules télécommandés.