À trois semaines du Grand Prix d'Australie, qui doit se tenir dans l'Albert Park, l'avenir de l'événement est remis en question par son coût auprès des contribuables.
Par contrat, l'Albert Park doit accueillir le Grand Prix d'Australie jusqu'en 2015. Pour la suite, le FIA a débloqué un budget pour étudier la possibilité de déménager dans la banlieue de la capitale de l'État de Victoria. Le pouvoir sportif espère en profiter pour faire courir de nuit, un horaire plus faste pour les diffusions en direct en Europe.
"Nous avons le choix de continuer dans l'Albert Park, de déplacer le Grand Prix ou alors que la F1 ne passe plus par chez nous", a synthétisé le Premier ministre de l'État de Victoria John Brumby dans le Sunday Herald Sun. Le journal ajoute que le gouvernement et l'organisateur anticipent un déficit de l'ordre de 33 M€ pour l'organisation de la course de cette année.
L'opposition profite de cette situation pour attaquer la majorité. Louise Asher, qui mène la contestation mais fut impliquée dans la venue de la F1 à Melbourne pour la première fois, en 1996, n'a pas mâché ses mots à l'égard de Brumby. "Je me rappelle qui nous avons négocié deux contrats avec (Bernie) Ecclestone. À l'époque, il ne négociait pas avec de candides. Lorsque j'étais au pouvoir, les pertes étaient de 1,13 M€, elle ont depuis explosé". Ambiance.
Par contrat, l'Albert Park doit accueillir le Grand Prix d'Australie jusqu'en 2015. Pour la suite, le FIA a débloqué un budget pour étudier la possibilité de déménager dans la banlieue de la capitale de l'État de Victoria. Le pouvoir sportif espère en profiter pour faire courir de nuit, un horaire plus faste pour les diffusions en direct en Europe.
"Nous avons le choix de continuer dans l'Albert Park, de déplacer le Grand Prix ou alors que la F1 ne passe plus par chez nous", a synthétisé le Premier ministre de l'État de Victoria John Brumby dans le Sunday Herald Sun. Le journal ajoute que le gouvernement et l'organisateur anticipent un déficit de l'ordre de 33 M€ pour l'organisation de la course de cette année.
L'opposition profite de cette situation pour attaquer la majorité. Louise Asher, qui mène la contestation mais fut impliquée dans la venue de la F1 à Melbourne pour la première fois, en 1996, n'a pas mâché ses mots à l'égard de Brumby. "Je me rappelle qui nous avons négocié deux contrats avec (Bernie) Ecclestone. À l'époque, il ne négociait pas avec de candides. Lorsque j'étais au pouvoir, les pertes étaient de 1,13 M€, elle ont depuis explosé". Ambiance.