Réaliser la pole position pour la première course de la saison de Formule 1 est ''une super surprise", a estimé Sebastian Vettel (Red Bull) samedi à Sakhir, où se déroulera dimanche le Grand Prix de Bahreïn.
Le pilote de l'équipe Red Bull ne pouvait pas cacher sa satisfaction d'avoir après avoir devancé samedi les Ferrari de Felipe Massa et Fernando Alonso. "C'est une super surprise. Nous savions que nous avions une bonne voiture. Mais il fallait que tout fonctionne", se réjouit Vettel qui avoue avoir connu hier "une mauvaise journée" lors des essais libres. "Nous n'avons pas roulé autant que nous l'aurions voulu. Nous avons encore passé une longue nuit, surtout les mécaniciens, qui étaient pourtant encore partants pour pousser ce matin. En qualifications, cela a été immédiatement meilleur." Le prodige allemand décrit sa séance comme "une session très douce, sans être très facile". "Surtout dans le dernier tour, où je me voyais aller moins vite de 1,5 ou 2/10e par tour... et je savais que je devais pousser."
Pensait-il être à ce niveau cet hiver ? "Aux essais d'hiver, personne ne savait vraiment où il en était. Il était clair que quatre écuries (Ferrari, Mercedes, McLaren et Red Bull) étaient assez fortes et proches les unes des autres." Ces favoris seront-ils toujours aux avant-postes dimanche, à l'arrivée de la première course ? "Nous ne savons pas ce qui va se passer, répond le pilote Red Bull. Cela pourrait être une course très excitante, ou très ennuyeuse. Moi, ce que j'espère, c'est une course tranquille, pour terminer plus ou moins là où nous avons commencé. Mais il y a beaucoup d'inconnu. Aucun n'entre nous ne sait à quoi s'attendre."
Surtout depuis la mise en place de la nouvelle règle sur le plein de carburant. "Dans le passé, les courses étaient plutôt des sprints. On commençait avec 50, 60, 70, 40 kilos d'essence. Il fallait faire attention au début, et ensuite nous pouvions aller à fond, ce que tout le monde adorait. Là, le challenge n'est pas d'attaquer à chaque tour, aussi fort que possible. Cela a changé. Il faut écouter la voiture, les pneus, les freins. Il y a beaucoup de choses à apprendre." D'où l'excitation qui grandit de jour en jour dans le paddock
Le pilote de l'équipe Red Bull ne pouvait pas cacher sa satisfaction d'avoir après avoir devancé samedi les Ferrari de Felipe Massa et Fernando Alonso. "C'est une super surprise. Nous savions que nous avions une bonne voiture. Mais il fallait que tout fonctionne", se réjouit Vettel qui avoue avoir connu hier "une mauvaise journée" lors des essais libres. "Nous n'avons pas roulé autant que nous l'aurions voulu. Nous avons encore passé une longue nuit, surtout les mécaniciens, qui étaient pourtant encore partants pour pousser ce matin. En qualifications, cela a été immédiatement meilleur." Le prodige allemand décrit sa séance comme "une session très douce, sans être très facile". "Surtout dans le dernier tour, où je me voyais aller moins vite de 1,5 ou 2/10e par tour... et je savais que je devais pousser."
Pensait-il être à ce niveau cet hiver ? "Aux essais d'hiver, personne ne savait vraiment où il en était. Il était clair que quatre écuries (Ferrari, Mercedes, McLaren et Red Bull) étaient assez fortes et proches les unes des autres." Ces favoris seront-ils toujours aux avant-postes dimanche, à l'arrivée de la première course ? "Nous ne savons pas ce qui va se passer, répond le pilote Red Bull. Cela pourrait être une course très excitante, ou très ennuyeuse. Moi, ce que j'espère, c'est une course tranquille, pour terminer plus ou moins là où nous avons commencé. Mais il y a beaucoup d'inconnu. Aucun n'entre nous ne sait à quoi s'attendre."
Surtout depuis la mise en place de la nouvelle règle sur le plein de carburant. "Dans le passé, les courses étaient plutôt des sprints. On commençait avec 50, 60, 70, 40 kilos d'essence. Il fallait faire attention au début, et ensuite nous pouvions aller à fond, ce que tout le monde adorait. Là, le challenge n'est pas d'attaquer à chaque tour, aussi fort que possible. Cela a changé. Il faut écouter la voiture, les pneus, les freins. Il y a beaucoup de choses à apprendre." D'où l'excitation qui grandit de jour en jour dans le paddock