Mis à part le Grand Prix du Canada, la Formule 1 n'a aucune autre destination en Amérique du Nord; il s'agit d'une situation que Bernie Ecclestone aimerait corriger par un retour du grand cirque sur le sol des États-Unis. Et si c'est possible, cela se ferait à Indianapolis, même si les relations n'étaient plus très bonnes lors de la dernière visite.
"Rien ne fonctionnait là-bas, il faudrait y avoir de gros changements", le patron de la F1 déclarait à Reuters dimanche. "Mais nous aimerions y retourner."
Le circuit est toujours sous le contrôle des même propriétaires, mais l'administration du site est entre de nouvelles mains depuis la dernière édition du Grand Prix des États-Unis présentée en 2007. À l'époque, Tony George avait nettement refusé de payer le montant demandé par Ecclestone et avait bruyamment claqué la porte.
Et n'oublions pas que le public américain est un marché difficile à percer, surtout après l'énorme fiasco de 2005 lorsque seulement six voitures étaient en piste pour présenter la plus ridicule des courses de F1 de tous les temps.
Mais le président de la FOM y croit toujours et songe maintenant à rajouter une étape étasunienne pour seconder la manche canadienne, et ce dès l'année prochaine dans le meilleur des mondes : "On peut regarder ça; 21 courses, pas de problème."
Mario Andretti, également à Bahreïn puisqu'il a participé à la parade des champions, souhaite ardemment revoir la Formule 1 chez lui. "J'y crois tellement", indiquait-il. "[Bernie] doit simplement trouver une façon."
Bien que d'autres souhaiteraient voir la F1 revenir aux États-Unis sur un autre circuit, le champion de la saison 1978 croit que le fameux Brickyard demeure une destination de choix.
"Pour moi, Indy avait la bonne infrastructure et était le bon endroit", expliquait Andretti. "C'est probablement où [la F1] doit se retrouver à moins que nous trouvions des investisseurs magiques qui pourraient présenter quelque chose ailleurs."
"Rien ne fonctionnait là-bas, il faudrait y avoir de gros changements", le patron de la F1 déclarait à Reuters dimanche. "Mais nous aimerions y retourner."
Le circuit est toujours sous le contrôle des même propriétaires, mais l'administration du site est entre de nouvelles mains depuis la dernière édition du Grand Prix des États-Unis présentée en 2007. À l'époque, Tony George avait nettement refusé de payer le montant demandé par Ecclestone et avait bruyamment claqué la porte.
Et n'oublions pas que le public américain est un marché difficile à percer, surtout après l'énorme fiasco de 2005 lorsque seulement six voitures étaient en piste pour présenter la plus ridicule des courses de F1 de tous les temps.
Mais le président de la FOM y croit toujours et songe maintenant à rajouter une étape étasunienne pour seconder la manche canadienne, et ce dès l'année prochaine dans le meilleur des mondes : "On peut regarder ça; 21 courses, pas de problème."
Mario Andretti, également à Bahreïn puisqu'il a participé à la parade des champions, souhaite ardemment revoir la Formule 1 chez lui. "J'y crois tellement", indiquait-il. "[Bernie] doit simplement trouver une façon."
Bien que d'autres souhaiteraient voir la F1 revenir aux États-Unis sur un autre circuit, le champion de la saison 1978 croit que le fameux Brickyard demeure une destination de choix.
"Pour moi, Indy avait la bonne infrastructure et était le bon endroit", expliquait Andretti. "C'est probablement où [la F1] doit se retrouver à moins que nous trouvions des investisseurs magiques qui pourraient présenter quelque chose ailleurs."