Colin Kolles, le team principal de l'écurie Hispania Racing Team, n'a jamais douté du potentiel de son équipe. Et il a eu raison. Ses pilotes, Bruno Senna et Karun Chandhok, ont tous deux terminé les dernières courses, en Malaisie et en Chine.
Etre présent au Bahreïn, pour l'ouverture de la saison, sonnait déjà comme une victoire. Hispania Racing n'avait pas participé aux essais de pré-saison. Alors, prendre le départ et terminer les Grands Prix paraît incroyable. Enfin, pas pour Colin Kolles, le team principal de l'écurie, anciennement nommée Campos Meta. Il jure y avoir toujours cru. Et pour cause, il ne partait pas complètement dans l'inconnu. Kolles a racheté les infrastructures de l'écurie Super Aguri, quand elle a abandonné au printemps 2008. Il a ensuite su utiliser au mieux cet équipement. Il avait lui-même décrit cette situation comme "offrant un énorme avantage".
Même s'il pouvait bénéficier d'infrastructures déjà existantes, le compte à rebours avant Bahreïn était lancé. Tout s'est décidé dans les derniers jours précédant la première manche du championnat. "Nous avons renommé l'équipe HRT. La grande présentation a eu lieu seulement dix jours avant l'ouverture de la saison. Mais je n'ai jamais douté de notre présence à Bahreïn. Jamais ", a-t-il avoué au journal Autosport. Sa confiance a été récompensée. Les monoplaces ont fait leurs grands débuts pour la première fois la veille des essais qualificatifs à Bahreïn. Depuis, quatre courses se sont disputées. Bruno Senna et Karun Chandhok ont prouvé la fiabilité de la voiture en finissant tous les deux en Malaisie et en Chine, la semaine dernière.
Colin Kolles regarde maintenant vers l'avenir. Il ne doute toujours pas sur les possibilités encore à exploiter. "Je ne pense pas à l'échec. Ce mot ne fait pas partie de mon vocabulaire. J'ai sauvé l'équipe, je dois la stabiliser. Après, je pourrai l'améliorer."
Etre présent au Bahreïn, pour l'ouverture de la saison, sonnait déjà comme une victoire. Hispania Racing n'avait pas participé aux essais de pré-saison. Alors, prendre le départ et terminer les Grands Prix paraît incroyable. Enfin, pas pour Colin Kolles, le team principal de l'écurie, anciennement nommée Campos Meta. Il jure y avoir toujours cru. Et pour cause, il ne partait pas complètement dans l'inconnu. Kolles a racheté les infrastructures de l'écurie Super Aguri, quand elle a abandonné au printemps 2008. Il a ensuite su utiliser au mieux cet équipement. Il avait lui-même décrit cette situation comme "offrant un énorme avantage".
Même s'il pouvait bénéficier d'infrastructures déjà existantes, le compte à rebours avant Bahreïn était lancé. Tout s'est décidé dans les derniers jours précédant la première manche du championnat. "Nous avons renommé l'équipe HRT. La grande présentation a eu lieu seulement dix jours avant l'ouverture de la saison. Mais je n'ai jamais douté de notre présence à Bahreïn. Jamais ", a-t-il avoué au journal Autosport. Sa confiance a été récompensée. Les monoplaces ont fait leurs grands débuts pour la première fois la veille des essais qualificatifs à Bahreïn. Depuis, quatre courses se sont disputées. Bruno Senna et Karun Chandhok ont prouvé la fiabilité de la voiture en finissant tous les deux en Malaisie et en Chine, la semaine dernière.
Colin Kolles regarde maintenant vers l'avenir. Il ne doute toujours pas sur les possibilités encore à exploiter. "Je ne pense pas à l'échec. Ce mot ne fait pas partie de mon vocabulaire. J'ai sauvé l'équipe, je dois la stabiliser. Après, je pourrai l'améliorer."