Depuis le dernier Grand Prix de France qui s’est couru en 2008 sur le tracé de Nevers Magny-Cours, la France voit le championnat de Formule 1 se dérouler loin de ses terres depuis que Bernie Ecclestone ne souhaite plus se rendre à Magny-Cours.
Avec l’arrivée de Jean Todt à la présidence de la FIA, la France pouvait espérer voir un retour rapide de la catégorie reine mais il n’en n’est rien. Les différents projets de Val de France, Disneyland ou encore de la région des Yvelines n’ont pas abouti et la France est dans une impasse.
Le premier ministre français, François Fillon, qui a déjà fait part de son amour pour le sport automobile, souhaite que la Formule 1 revienne en France, et ce, le plus vite possible.
"Mon bilan concernant le sport automobile est assez contrasté," confie le Premier ministre. "Je revendique d’avoir participé, avec beaucoup d’autres, au sauvetage des 24 Heures du Mans, menacées, à l’époque, par le comportement peu sportif de la Fédération Internationale de Sport Automobile ; c’était celle de M. Ballestre, pas celle de Jean Todt. Et aussi peut-être par le fait que l’ensemble des organisateurs de cette magnifique épreuve s’étaient un peu reposés sur leur succès."
"Je dois reconnaître que je n’ai pas réussi - en tout cas, pas encore – à ramener le Grand Prix de Formule 1 en France. C’est pour moi un échec. Un échec sur lequel je n’ai pas dit mon dernier mot."
Avec l’arrivée de Jean Todt à la présidence de la FIA, la France pouvait espérer voir un retour rapide de la catégorie reine mais il n’en n’est rien. Les différents projets de Val de France, Disneyland ou encore de la région des Yvelines n’ont pas abouti et la France est dans une impasse.
Le premier ministre français, François Fillon, qui a déjà fait part de son amour pour le sport automobile, souhaite que la Formule 1 revienne en France, et ce, le plus vite possible.
"Mon bilan concernant le sport automobile est assez contrasté," confie le Premier ministre. "Je revendique d’avoir participé, avec beaucoup d’autres, au sauvetage des 24 Heures du Mans, menacées, à l’époque, par le comportement peu sportif de la Fédération Internationale de Sport Automobile ; c’était celle de M. Ballestre, pas celle de Jean Todt. Et aussi peut-être par le fait que l’ensemble des organisateurs de cette magnifique épreuve s’étaient un peu reposés sur leur succès."
"Je dois reconnaître que je n’ai pas réussi - en tout cas, pas encore – à ramener le Grand Prix de Formule 1 en France. C’est pour moi un échec. Un échec sur lequel je n’ai pas dit mon dernier mot."