Le constructeur français va équiper d'un système contrôle électronique de stabilité (ESP) son Combi dont la sécurité vient d'être remise en cause lors d'un crash test.
Citroën va "accélérer au maximum" l'installation du contrôle électronique de stabilité (ESP) sur ses Combi Nemo, a promis le constructeur français, après la publication d'une vidéo d'un crash test mettant en cause la sécurité de son modèle.
"Nous allons accélérer le déploiement de l'ESP sur les Nemo à moteur diesel et essence", a confié une porte-parole de la marque citée par l'AFP, en reconnaissant que cette décision avait été prise après le test "particulièrement sévère" mené par l'automobile club allemand ADAC sur un modèle ne disposant pas d'ESP. Pour les Nemo actuellement en circulation, il n'y a pas de changement possible, a-t-elle cependant indiqué, assurant que ces automobiles étaient sûres.
Selon l'ADAC, la Citroën Nemo est le seul, parmi trois véhicules du même type testé, à se retrouver sur le toit au deuxième coup de volant, lors du test d'évitement dit de "test de l'élan" réalisé en mars dernier. Un test qui consiste à enchaîner deux coups de volants à une vitesse de 80 km/h.
"Seuls 2% des conducteurs sont de toute façon capables d'effectuer un double braquage à cette vitesse. La plupart d'entre eux freinent avant le second braquage", a minimisé Citroën en s'appuyant sur ses propres études d'accidentologie.
Il n'empêche pour les versions diesel de Nemo, l'ESP sera proposé dès septembre et pour celles à essence ce devrait être au premier semestre 2011, s'est empressé d'assurer la marque visiblement décidée à régler au plus vite une affaire, qui, mal gérée, pourrait se révéler extrêmement dommageable pour l'image mais dont il ne serait alors pas le premier à faire les frais.
On se souvient en effet de l'échec de la Mercedes Classe A au même test de l'élan en 1997, qui avait obligé l'allemand Daimler à modifier sa voiture pour en sauver le lancement. Puis de celui de la Dacia Logan (Groupe Renault).
Citroën va "accélérer au maximum" l'installation du contrôle électronique de stabilité (ESP) sur ses Combi Nemo, a promis le constructeur français, après la publication d'une vidéo d'un crash test mettant en cause la sécurité de son modèle.
"Nous allons accélérer le déploiement de l'ESP sur les Nemo à moteur diesel et essence", a confié une porte-parole de la marque citée par l'AFP, en reconnaissant que cette décision avait été prise après le test "particulièrement sévère" mené par l'automobile club allemand ADAC sur un modèle ne disposant pas d'ESP. Pour les Nemo actuellement en circulation, il n'y a pas de changement possible, a-t-elle cependant indiqué, assurant que ces automobiles étaient sûres.
Selon l'ADAC, la Citroën Nemo est le seul, parmi trois véhicules du même type testé, à se retrouver sur le toit au deuxième coup de volant, lors du test d'évitement dit de "test de l'élan" réalisé en mars dernier. Un test qui consiste à enchaîner deux coups de volants à une vitesse de 80 km/h.
"Seuls 2% des conducteurs sont de toute façon capables d'effectuer un double braquage à cette vitesse. La plupart d'entre eux freinent avant le second braquage", a minimisé Citroën en s'appuyant sur ses propres études d'accidentologie.
Il n'empêche pour les versions diesel de Nemo, l'ESP sera proposé dès septembre et pour celles à essence ce devrait être au premier semestre 2011, s'est empressé d'assurer la marque visiblement décidée à régler au plus vite une affaire, qui, mal gérée, pourrait se révéler extrêmement dommageable pour l'image mais dont il ne serait alors pas le premier à faire les frais.
On se souvient en effet de l'échec de la Mercedes Classe A au même test de l'élan en 1997, qui avait obligé l'allemand Daimler à modifier sa voiture pour en sauver le lancement. Puis de celui de la Dacia Logan (Groupe Renault).