Mark Webber a réalisé le coup parfait dimanche à Monaco. Victoire et première place au Championnat Pilotes, à égalité avec son coéquipier Sebastian Vettel, deuxième aujourd'hui. Webber a mené la course de bout en bout, imprimant son rythme et creusant l'écart quand il le voulait.
Derrière les deux Red Bull, un autre moteur Renault. Le Polonais Robert Kubica se classe à la troisième place. Parti sur la première ligne, derrière le poleman Webber, il était dépassé dès l'envol. D'entrée, le podium était constitué. Felipe Massa, qui faillit lui aussi croquer la Renault du Polonais, allait rester et terminer à sa quatrième place, juste devant Lewis Hamilton.
Si la pluie n'a joué aucun rôle aujourd'hui alors qu'elle était attendue, la Voiture de Sécurité a été très présente. Le Grand Prix a quasiment commencé sous son régime, il s'est conclu de la même façon. La Safety Car n'a pas du tout gêné Mark Webber. À chacune de ses sorties, les écarts se resserraient, naturellement, mais, une fois lâché, le vainqueur du Grand Prix d'Espagne, il y a une semaine, repartait sur un tempo plus élevé que celui de ses poursuivants et ne mettait que quelques tours pour reprendre le large.
Dès le premier tour, l'accident de Hülkenberg dans le tunnel neutralise la course pendant six tours. Alonso, parti des stands, en profite pour chausser les pneus durs. Il les gardera tout au long des 76 tours restants et ne passera plus par son garage. Un pari osé, un pari gagnant. L'Espagnol finira septième, avec dix-sept places de mieux qu'au départ.
Il a été doublé par Michael Schumacher dans le tout dernier virage du Grand Prix. Une enquête a été ouverte par les commissaires, parmi lesquels Damon Hill. L'Allemand de l'écurie Mercedes pourrait être pénalisé pour avoir dépassé, après que la voiture de sécurité s'est effacée, mais avant d'avoir franchi la ligne.
Beaucoup d'abandons à déplorer aujourd'hui. Seulement douze voitures ont rallié le drapeau à damiers. Des sorties de piste pour Hülkenberg, pour Barrichello peu avant la mi-course, sur l'autre Williams. Là encore, la course est neutralisée. On apprendra plus tard que de l'eau se trouvait dans la montée après Sainte-Dévote. Et la safety car reviendra.
À trois tours de la fin, Trulli monte littéralement sur le casque de Karun Chandhok. Les deux pilotes se bagarraient pour la quinzième place. Dans la Rascasse, la porte se referme pour l'Italien, c'est l'accrochage. Le Grand Prix se terminera au ralenti en raison de cet incident, pas une mauvaise nouvelle pour les Red Bull, à qui on demandait depuis les stands d'économiser la voiture, notamment les freins.
Toujours des petits problèmes de fiabilité sur la RB6, mais elle gagne encore, comme à Barcelone. À noter également les performances des Force India, les deux dans les points. Sutil arrive neuvième, Liuzzi dixième devançant au final les deux Toro Rosso. Prochain rendez-vous le 30 mai prochain en Turquie pour la septième épreuve de la saison.
Derrière les deux Red Bull, un autre moteur Renault. Le Polonais Robert Kubica se classe à la troisième place. Parti sur la première ligne, derrière le poleman Webber, il était dépassé dès l'envol. D'entrée, le podium était constitué. Felipe Massa, qui faillit lui aussi croquer la Renault du Polonais, allait rester et terminer à sa quatrième place, juste devant Lewis Hamilton.
Si la pluie n'a joué aucun rôle aujourd'hui alors qu'elle était attendue, la Voiture de Sécurité a été très présente. Le Grand Prix a quasiment commencé sous son régime, il s'est conclu de la même façon. La Safety Car n'a pas du tout gêné Mark Webber. À chacune de ses sorties, les écarts se resserraient, naturellement, mais, une fois lâché, le vainqueur du Grand Prix d'Espagne, il y a une semaine, repartait sur un tempo plus élevé que celui de ses poursuivants et ne mettait que quelques tours pour reprendre le large.
Dès le premier tour, l'accident de Hülkenberg dans le tunnel neutralise la course pendant six tours. Alonso, parti des stands, en profite pour chausser les pneus durs. Il les gardera tout au long des 76 tours restants et ne passera plus par son garage. Un pari osé, un pari gagnant. L'Espagnol finira septième, avec dix-sept places de mieux qu'au départ.
Il a été doublé par Michael Schumacher dans le tout dernier virage du Grand Prix. Une enquête a été ouverte par les commissaires, parmi lesquels Damon Hill. L'Allemand de l'écurie Mercedes pourrait être pénalisé pour avoir dépassé, après que la voiture de sécurité s'est effacée, mais avant d'avoir franchi la ligne.
Beaucoup d'abandons à déplorer aujourd'hui. Seulement douze voitures ont rallié le drapeau à damiers. Des sorties de piste pour Hülkenberg, pour Barrichello peu avant la mi-course, sur l'autre Williams. Là encore, la course est neutralisée. On apprendra plus tard que de l'eau se trouvait dans la montée après Sainte-Dévote. Et la safety car reviendra.
À trois tours de la fin, Trulli monte littéralement sur le casque de Karun Chandhok. Les deux pilotes se bagarraient pour la quinzième place. Dans la Rascasse, la porte se referme pour l'Italien, c'est l'accrochage. Le Grand Prix se terminera au ralenti en raison de cet incident, pas une mauvaise nouvelle pour les Red Bull, à qui on demandait depuis les stands d'économiser la voiture, notamment les freins.
Toujours des petits problèmes de fiabilité sur la RB6, mais elle gagne encore, comme à Barcelone. À noter également les performances des Force India, les deux dans les points. Sutil arrive neuvième, Liuzzi dixième devançant au final les deux Toro Rosso. Prochain rendez-vous le 30 mai prochain en Turquie pour la septième épreuve de la saison.