Mercedes a annoncé sa volonté de faire appel de la décision de la FIA de déclasser Michael Schumacher du Grand Prix de Monaco, dimanche.
Schumacher a franchi la ligne d'arrivée à la 6e place mais il a ensuite reçu une pénalité de 20" pour avoir dépassé la Ferrari de Fernando Alonso alors que la course était sous régime de Voiture de Sécurité, ce qui l'a fait reculer à la 12e place.
Mercedes, qui prétend que le dépassement n'enfreint pas le règlement, a décidé de porter l'affaire devant la Cour d'Appel de la FIA. La FIA a rappelé que l'appel ne pouvait porter sur la pénalité mais seulement sur la décision.
"Ma course d'aujourd'hui aurait été assez normale si ce n'avait été de la décision des commissaires par la suite", a rapporté Schumacher. "Le résultat à la toute fin, qui m'a déclassé à la 12e place pour l'instant, est évidemment décevant et je peux très bien comprendre que nous allions en appel de cette décision."
Le principal intéressé a fourni sa version des faits : "Notre compréhension était que le message 'Voiture de Sécurité aux puits, piste ouverte' signifiait que nous étions de nouveau en conditions de course, alors j'ai foncé et doublé Fernando."
"La raison-d'être de la Voiture de Sécurité avait été retirée", élaborait le patron de Mercedes, Ross Brawn. "La piste a été déclarée ouverte par la direction de la course. Cela a été confirmé davantage lorsque les commissaires ont affiché les drapeaux verts ainsi que les lumières. Par le passé, lorsqu'il a été nécessaire de compléter une course derrière la Voiture de Sécurité, les [drapeaux] jaunes ont été maintenus sur tout le parcours, comme ce fut le cas à Melbourne en 2009."
Brawn sentait alors qu'il respectait le règlement quand il a demandé à ses pilotes d'attaquer lors des derniers mètres de la course : "Conséquemment, nous avons avisé nos pilotes qu'ils devaient courir jusqu'à la ligne [d'arrivée] et Michael a effectué sa manœuvre sur Fernando pour la sixième place. Nous avons fait appel de la décision des commissaires."
Alonso, quant à lui, s'était fait dire de ne tenter aucun dépassement sur Lewis Hamilton malgré son insistance devant l'opportunité qui s'offrait à lui. Son opinion sur la manœuvre de Schumacher était limpide avant même de connaître la décision des commissaires : "Ils vont le pénaliser."
Schumacher a franchi la ligne d'arrivée à la 6e place mais il a ensuite reçu une pénalité de 20" pour avoir dépassé la Ferrari de Fernando Alonso alors que la course était sous régime de Voiture de Sécurité, ce qui l'a fait reculer à la 12e place.
Mercedes, qui prétend que le dépassement n'enfreint pas le règlement, a décidé de porter l'affaire devant la Cour d'Appel de la FIA. La FIA a rappelé que l'appel ne pouvait porter sur la pénalité mais seulement sur la décision.
"Ma course d'aujourd'hui aurait été assez normale si ce n'avait été de la décision des commissaires par la suite", a rapporté Schumacher. "Le résultat à la toute fin, qui m'a déclassé à la 12e place pour l'instant, est évidemment décevant et je peux très bien comprendre que nous allions en appel de cette décision."
Le principal intéressé a fourni sa version des faits : "Notre compréhension était que le message 'Voiture de Sécurité aux puits, piste ouverte' signifiait que nous étions de nouveau en conditions de course, alors j'ai foncé et doublé Fernando."
"La raison-d'être de la Voiture de Sécurité avait été retirée", élaborait le patron de Mercedes, Ross Brawn. "La piste a été déclarée ouverte par la direction de la course. Cela a été confirmé davantage lorsque les commissaires ont affiché les drapeaux verts ainsi que les lumières. Par le passé, lorsqu'il a été nécessaire de compléter une course derrière la Voiture de Sécurité, les [drapeaux] jaunes ont été maintenus sur tout le parcours, comme ce fut le cas à Melbourne en 2009."
Brawn sentait alors qu'il respectait le règlement quand il a demandé à ses pilotes d'attaquer lors des derniers mètres de la course : "Conséquemment, nous avons avisé nos pilotes qu'ils devaient courir jusqu'à la ligne [d'arrivée] et Michael a effectué sa manœuvre sur Fernando pour la sixième place. Nous avons fait appel de la décision des commissaires."
Alonso, quant à lui, s'était fait dire de ne tenter aucun dépassement sur Lewis Hamilton malgré son insistance devant l'opportunité qui s'offrait à lui. Son opinion sur la manœuvre de Schumacher était limpide avant même de connaître la décision des commissaires : "Ils vont le pénaliser."