Rubens Barrichello, qui ne manque pourtant pas d'expérience, est au cœur d'une mini-polémique qui entoure la manière dont il s'est débarrassé de son volant après son abandon.
Accidenté au Casino après 31 tours, dimanche dans le Grand Prix de Monaco, Rubens Barrichello se défend d'avoir fait une erreur en jetant son volant à terre. Les images vidéo suggèrent pourtant bien que ce soit par dépit que le pilote le plus assidu de l'Histoire de la F1 (300 GP cette saison) se soit débarrassé, dans la trajectoire, d'une des pièces maîtresses de sa Williams, évaluée à 40 000 €.
Le volant était dans la foulée emporté sous le fond plat de Karun Chandhok jusqu'au Tunnel. Il passait alors sous les roues de l'autre HRT de Bruno Senna avant de se désagréger.
En outre, après un abandon, il est demandé aux pilotes, par le règlement, de reconnecter le volant à la direction, ce que n'a pas fait Barrichello. Le Brésilien qui aura 38 ans dans quelques jours, a invoqué un autre fait pris en compte par le règlement dans de pareils cas : l'urgence.
"J'étais en face du flux des voitures et la mienne était elle-même en feu", s'est justifié Barrichello, soutenu par le co-propriétaire de l'équipe Patrick Head. "Lorsque vous êtes arrêté au milieu de voitures qui vous frôlent à 200 km/h, vous n'avez qu'un seul souci, celui de vous mettre à l'abri", a déclaré ce dernier."
Accidenté au Casino après 31 tours, dimanche dans le Grand Prix de Monaco, Rubens Barrichello se défend d'avoir fait une erreur en jetant son volant à terre. Les images vidéo suggèrent pourtant bien que ce soit par dépit que le pilote le plus assidu de l'Histoire de la F1 (300 GP cette saison) se soit débarrassé, dans la trajectoire, d'une des pièces maîtresses de sa Williams, évaluée à 40 000 €.
Le volant était dans la foulée emporté sous le fond plat de Karun Chandhok jusqu'au Tunnel. Il passait alors sous les roues de l'autre HRT de Bruno Senna avant de se désagréger.
En outre, après un abandon, il est demandé aux pilotes, par le règlement, de reconnecter le volant à la direction, ce que n'a pas fait Barrichello. Le Brésilien qui aura 38 ans dans quelques jours, a invoqué un autre fait pris en compte par le règlement dans de pareils cas : l'urgence.
"J'étais en face du flux des voitures et la mienne était elle-même en feu", s'est justifié Barrichello, soutenu par le co-propriétaire de l'équipe Patrick Head. "Lorsque vous êtes arrêté au milieu de voitures qui vous frôlent à 200 km/h, vous n'avez qu'un seul souci, celui de vous mettre à l'abri", a déclaré ce dernier."