Les ailerons des Red Bull continuent de troubler tout le paddock. Bien que déclarés conformes à deux reprises, ces appendices aérodynamiques semblent, en piste, plus bas et donc plus efficaces que ceux de la concurrence.
Les photos et les vidéos produites en course ou en essais sont des preuves moins irréfutables que les tests règlementaires mais quand même... Tout le monde pensait, après Budapest, que les Red Bull, mais aussi les Ferrari, avaient un truc pour passer au travers des fourches caudines de Charlie Whiting, le directeur technique de la FIA.
"C'est très astucieux", lâchait hier dans sa préparation finale pour le triathlon de Londres Jenson Button, alors que McLaren ne peut même pas organiser la riposte, mise hors de sa propre usine par le règlement. "Il faut rapidement que l'on comprenne comment ça marche."
"Il semble que ce ne soit pas seulement les dérives qui s'abaissent", a cru remarquer Button. Et les photos de confirmer que c'est tout le museau de la Red Bull qui se trouve au ras du sol à haute vitesse, offrant un meilleur rendement aéro. La théorie pourrait être corroborée par le bris d'aileron dont fut victime Sebastien Vettel lors de la dernière séance libre du Grand Prix de Grande-Bretagne, le 10 juillet, incident devenu célèbre pour d'autres raisons.
Mais l'histoire ne s'arrêterait pas là. En plus du nez de la RB6, il apparaît que son fond plat serait lui aussi mobile. Il s'abaisserait sur l'avant et remonterait sur l'arrière, conditionnant toute la pénétration dans l'air de la voiture qui a réussi cette saison toutes les pole positions sauf une.
Les photos et les vidéos produites en course ou en essais sont des preuves moins irréfutables que les tests règlementaires mais quand même... Tout le monde pensait, après Budapest, que les Red Bull, mais aussi les Ferrari, avaient un truc pour passer au travers des fourches caudines de Charlie Whiting, le directeur technique de la FIA.
"C'est très astucieux", lâchait hier dans sa préparation finale pour le triathlon de Londres Jenson Button, alors que McLaren ne peut même pas organiser la riposte, mise hors de sa propre usine par le règlement. "Il faut rapidement que l'on comprenne comment ça marche."
"Il semble que ce ne soit pas seulement les dérives qui s'abaissent", a cru remarquer Button. Et les photos de confirmer que c'est tout le museau de la Red Bull qui se trouve au ras du sol à haute vitesse, offrant un meilleur rendement aéro. La théorie pourrait être corroborée par le bris d'aileron dont fut victime Sebastien Vettel lors de la dernière séance libre du Grand Prix de Grande-Bretagne, le 10 juillet, incident devenu célèbre pour d'autres raisons.
Mais l'histoire ne s'arrêterait pas là. En plus du nez de la RB6, il apparaît que son fond plat serait lui aussi mobile. Il s'abaisserait sur l'avant et remonterait sur l'arrière, conditionnant toute la pénétration dans l'air de la voiture qui a réussi cette saison toutes les pole positions sauf une.