Bernie Ecclestone a défendu sa décision d'implanter le futur Grand Prix des États-Unis à Austin, en partenariat avec un promoteur largement méconnu.
Il y a plusieurs jours, le grand argentier de la F1 annonçait la signature d'une entente avec Tavo Hellmund et Full Throttle Productions en vue de construire un circuit spécifiquement conçu pour la catégorie reine. Cependant, les détails du circuit, son emplacement exact et son mécanisme de financement n'ont pas été révélés.
Ecclestone a toutefois déclaré avoir une confiance totale envers les gens qui s'occuperont de ce très coûteux projet. De plus, il a confirmé l'existence d'un apport financier provenant d'un fonds spécial créé par le gouvernement du Texas dans le but d'encourager et soutenir des événements de classe mondiale sur son territoire. La rumeur laisse entendre que ce montant non dévoilé serait de 25 millions $ par année.
"Nous avons une entente et nous avons beaucoup de soutien de la part du gouvernement (texan) et du gouverneur lui-même, alors tout va bien", Ecclestone a expliqué sur les ondes de la BBC. "Ils se préparent à construire le circuit que nous voulons. Ils font exactement ce qu'on leur demande."
Le Britannique a admis que le marché américain ne sera pas facile à percer, ce qui n'est un secret pour personne; mais la F1 a déjà accompli de tels exploits.
"On trouve énormément de sports en Amérique et nous y serons pour une course alors qu'il y en a 35 pour le NASCAR", remarquait-il. "C'est un marché difficile à percer mais partout ou nous avons couru nous avons eu de grandes foules."
Le peu de détails dévoilés à ce jour soulève certaines inquiétudes car certains y voient des similitudes avec le projet de Donington Park, qui devait présenter le GP de Grande-Bretagne à partir de cette année. Ce scénario a échoué, mais Ecclestone ne s'inquiète pas d'avoir un autre 'Donington' entre les mains. "Aucune crainte du tout", a-t-il précisé.
Ecclestone a plutôt réitéré sa bonne foi envers Tavo Hellmund et son organisation : "C'est quelqu'un que je connais depuis très longtemps, alors je sais que je peux faire confiance à ces gens."
Il y a plusieurs jours, le grand argentier de la F1 annonçait la signature d'une entente avec Tavo Hellmund et Full Throttle Productions en vue de construire un circuit spécifiquement conçu pour la catégorie reine. Cependant, les détails du circuit, son emplacement exact et son mécanisme de financement n'ont pas été révélés.
Ecclestone a toutefois déclaré avoir une confiance totale envers les gens qui s'occuperont de ce très coûteux projet. De plus, il a confirmé l'existence d'un apport financier provenant d'un fonds spécial créé par le gouvernement du Texas dans le but d'encourager et soutenir des événements de classe mondiale sur son territoire. La rumeur laisse entendre que ce montant non dévoilé serait de 25 millions $ par année.
"Nous avons une entente et nous avons beaucoup de soutien de la part du gouvernement (texan) et du gouverneur lui-même, alors tout va bien", Ecclestone a expliqué sur les ondes de la BBC. "Ils se préparent à construire le circuit que nous voulons. Ils font exactement ce qu'on leur demande."
Le Britannique a admis que le marché américain ne sera pas facile à percer, ce qui n'est un secret pour personne; mais la F1 a déjà accompli de tels exploits.
"On trouve énormément de sports en Amérique et nous y serons pour une course alors qu'il y en a 35 pour le NASCAR", remarquait-il. "C'est un marché difficile à percer mais partout ou nous avons couru nous avons eu de grandes foules."
Le peu de détails dévoilés à ce jour soulève certaines inquiétudes car certains y voient des similitudes avec le projet de Donington Park, qui devait présenter le GP de Grande-Bretagne à partir de cette année. Ce scénario a échoué, mais Ecclestone ne s'inquiète pas d'avoir un autre 'Donington' entre les mains. "Aucune crainte du tout", a-t-il précisé.
Ecclestone a plutôt réitéré sa bonne foi envers Tavo Hellmund et son organisation : "C'est quelqu'un que je connais depuis très longtemps, alors je sais que je peux faire confiance à ces gens."