Fernando Alonso a déploré que la F10 n'ait "pas évolué depuis la Chine", mardi, alors que la Scuderia prépare le Grand Prix du Canada.
La lune de Miel entre le double champion du monde et Maranello semble sur le point de se terminer. Le Taureau des Asturies n'a plus encorné la victoire depuis le Grand Prix d'ouverture, à Sakhir, et il s'est exprimé assez directement vis-à-vis de son nouvel employeur dans le journal AS.
"La F10 n'a pas évolué depuis le GP de Chine", commence Alonso dans les colonnes d'AUTOhebdo. "A part l'aileron soufflé (alimenté par le F-duct), qui n'apporte pas forcément tout ce que l'on en attend, et qui a monopolisé les efforts des ingénieurs aéro, rien de nouveau. À part à Bahreïn, nous ne faisons que jouer en défense, pas en attaque. J'espère que les choses iront mieux à partir du Grand Prix à Valencia (à la fin du mois), où les F10 devraient apparaître dans une version B très évoluée. Nous basons tout sur ce programme, en sachant que le fossé qui nous sépare des Red Bull et McLaren est large. Je dirais sept à huit dixièmes… Pas facile à combler."
La lune de Miel entre le double champion du monde et Maranello semble sur le point de se terminer. Le Taureau des Asturies n'a plus encorné la victoire depuis le Grand Prix d'ouverture, à Sakhir, et il s'est exprimé assez directement vis-à-vis de son nouvel employeur dans le journal AS.
"La F10 n'a pas évolué depuis le GP de Chine", commence Alonso dans les colonnes d'AUTOhebdo. "A part l'aileron soufflé (alimenté par le F-duct), qui n'apporte pas forcément tout ce que l'on en attend, et qui a monopolisé les efforts des ingénieurs aéro, rien de nouveau. À part à Bahreïn, nous ne faisons que jouer en défense, pas en attaque. J'espère que les choses iront mieux à partir du Grand Prix à Valencia (à la fin du mois), où les F10 devraient apparaître dans une version B très évoluée. Nous basons tout sur ce programme, en sachant que le fossé qui nous sépare des Red Bull et McLaren est large. Je dirais sept à huit dixièmes… Pas facile à combler."