Après avoir démenti qu’elle pourrait utiliser la Toyota TF110 – avec laquelle l’équipe japonaise aurait disputé cette saison – pour développer ses pneus, Pirelli envisagerait d’utiliser une ancienne BMW Sauber.
L’entreprise italienne, qui sera le nouveau manufacturier unique de pneus lors des trois prochaines saisons en Formule 1, a déjà confirmé qu’elle utilisera une GP2 pour les premiers tests de ses pneumatiques sur circuit.
Et les premiers essais officiels du pneu Pirelli devraient avoir lieu directement après la fin de la saison, sur le circuit d’Abu Dhabi, au cours d’une session de quatre jours d’essais. Cependant, Pirelli étant incapable de produire des gommes pour toutes les équipes pour les quatre séances, les écuries seront toujours chaussées de pneus Bridgestone lors des deux premières journées.
Toujours est-il que d’ici là, Paul Hembery, responsable de la compétition chez Pirelli, a admis qu’un test de leur nouveau pneu au volant d’une vraie Formule 1, et non d’une GP2, est indispensable.
"Nous pensons qu’elle [la GP2] sera un bon point de départ. Et ensuite une monoplace de Formule 1, peut-être pas une récente, mais une d’il y a quelques années. A cet égard, nous parlons avec les équipes. La chose important est que tout le monde soit s’accord sur l’écurie. Par exemple, BMW pourrait être un bon choix," a-t-il déclaré, cité par le magazine italien Autosprint
L’entreprise italienne, qui sera le nouveau manufacturier unique de pneus lors des trois prochaines saisons en Formule 1, a déjà confirmé qu’elle utilisera une GP2 pour les premiers tests de ses pneumatiques sur circuit.
Et les premiers essais officiels du pneu Pirelli devraient avoir lieu directement après la fin de la saison, sur le circuit d’Abu Dhabi, au cours d’une session de quatre jours d’essais. Cependant, Pirelli étant incapable de produire des gommes pour toutes les équipes pour les quatre séances, les écuries seront toujours chaussées de pneus Bridgestone lors des deux premières journées.
Toujours est-il que d’ici là, Paul Hembery, responsable de la compétition chez Pirelli, a admis qu’un test de leur nouveau pneu au volant d’une vraie Formule 1, et non d’une GP2, est indispensable.
"Nous pensons qu’elle [la GP2] sera un bon point de départ. Et ensuite une monoplace de Formule 1, peut-être pas une récente, mais une d’il y a quelques années. A cet égard, nous parlons avec les équipes. La chose important est que tout le monde soit s’accord sur l’écurie. Par exemple, BMW pourrait être un bon choix," a-t-il déclaré, cité par le magazine italien Autosprint