Michael Schumacher a tenu à faire taire ses détracteurs ce vendredi à Valence, après avoir de nouveau été la cible de critiques après sa performance réalisée au Grand Prix du Canada.
Après avoir pourtant dominé son équipier Nico Rosberg tout au long du week-end à Montréal, le septuple champion du monde a dû se contenter de la 11ème place après s’être accroché avec Robert Kubica en début de course et en raison d’un mauvais choix de stratégie avec les pneus tendres.
Ainsi, interrogé sur les commentaires faits par les des consultants de la BBC – Martin Brundle, David Coulthard et Eddie Jordan – après la course canadienne, Michael Schumacher a déclaré : "Je ne les prends pas au sérieux car il y a des éléments différents de la Formule 1, et une partie est le show-business."
"Je ne peux donc pas prendre ça sérieusement comme une critique réaliste, je mets donc ça sur le dos du show-business, et se lamenter à mon sujet parfois crée de l’attention – ce qui est peut-être le but recherché. Je préfère ne pas l’avoir, ou avoir à en entendre parler ou devoir répondre à votre question, mais ça revient vers moi."
Michael Schumacher a cependant reconnu que certaines critiques étaient justifiées, admettant qu’il aurait pu faire un meilleur boulot parfois.
"Oui, vous faites des erreurs et vous auriez pu améliorer certaines choses, en regardant en arrière. Mais dans l’ensemble, je ne pense pas qu’il y a beaucoup de gars dans le monde qui, à 41 ans, reviennent après une pause de trois ans et concourent à ce haut niveau."
"Je n’ai pas perdu ma science du pilotage. Je sais ce que je fais, et je pense que je le fais du meilleur que je peux. Quand j’ai remporté 91 Grands Prix et sept championnats, j’ai alors pensé à la manière dont je pouvais m’améliorer, comme je le fais actuellement."
Le septuple champion du monde, qui a signé un contrat de trois ans avec Mercedes GP, explique que sa difficulté à comprendre les nouveaux pneus slicks, qui n’existaient pas de son temps chez Ferrari, est responsable de ses contre-performances cette saison.
"La principale difficulté est de maîtriser au maximum les pneus et de les comprendre. Pour une raison quelconque, nous n’avons pas été capables de le faire en qualifications et c’est quelque chose que nous essayons de comprendre pour être sûrs que nous pourrons être à notre maximum en termes de performance."
"C’est certainement le fait qu’ils sont différents de ceux auxquels j’étais habitué. Mais tous les autres semblent souffrir. J’entends tout le long de la voie des stands que des personnes ont des problèmes, à propos de ce qu’il faut faire à certains moments. Ce fut donc la plus grande surprise pour nous, et nous avons particulièrement souffert dans ce domaine au Canada. C’est le plus grand problème pour nous cette année.
Après avoir pourtant dominé son équipier Nico Rosberg tout au long du week-end à Montréal, le septuple champion du monde a dû se contenter de la 11ème place après s’être accroché avec Robert Kubica en début de course et en raison d’un mauvais choix de stratégie avec les pneus tendres.
Ainsi, interrogé sur les commentaires faits par les des consultants de la BBC – Martin Brundle, David Coulthard et Eddie Jordan – après la course canadienne, Michael Schumacher a déclaré : "Je ne les prends pas au sérieux car il y a des éléments différents de la Formule 1, et une partie est le show-business."
"Je ne peux donc pas prendre ça sérieusement comme une critique réaliste, je mets donc ça sur le dos du show-business, et se lamenter à mon sujet parfois crée de l’attention – ce qui est peut-être le but recherché. Je préfère ne pas l’avoir, ou avoir à en entendre parler ou devoir répondre à votre question, mais ça revient vers moi."
Michael Schumacher a cependant reconnu que certaines critiques étaient justifiées, admettant qu’il aurait pu faire un meilleur boulot parfois.
"Oui, vous faites des erreurs et vous auriez pu améliorer certaines choses, en regardant en arrière. Mais dans l’ensemble, je ne pense pas qu’il y a beaucoup de gars dans le monde qui, à 41 ans, reviennent après une pause de trois ans et concourent à ce haut niveau."
"Je n’ai pas perdu ma science du pilotage. Je sais ce que je fais, et je pense que je le fais du meilleur que je peux. Quand j’ai remporté 91 Grands Prix et sept championnats, j’ai alors pensé à la manière dont je pouvais m’améliorer, comme je le fais actuellement."
Le septuple champion du monde, qui a signé un contrat de trois ans avec Mercedes GP, explique que sa difficulté à comprendre les nouveaux pneus slicks, qui n’existaient pas de son temps chez Ferrari, est responsable de ses contre-performances cette saison.
"La principale difficulté est de maîtriser au maximum les pneus et de les comprendre. Pour une raison quelconque, nous n’avons pas été capables de le faire en qualifications et c’est quelque chose que nous essayons de comprendre pour être sûrs que nous pourrons être à notre maximum en termes de performance."
"C’est certainement le fait qu’ils sont différents de ceux auxquels j’étais habitué. Mais tous les autres semblent souffrir. J’entends tout le long de la voie des stands que des personnes ont des problèmes, à propos de ce qu’il faut faire à certains moments. Ce fut donc la plus grande surprise pour nous, et nous avons particulièrement souffert dans ce domaine au Canada. C’est le plus grand problème pour nous cette année.