Ferrari ne décolère pas au lendemain du Grand Prix d’Europe qu’elle a qualifié de véritable "scandale", estimant que ses protestations sont totalement légitimes.
L’équipe de Maranello reproche tout particulièrement aux commissaires d’avoir tardé dans leur décision d’infliger un drive-through à Lewis Hamilton pour avoir dépassé la voiture de sécurité et la voiture médicale, une pénalité qui n’a ainsi eu aucune incidence sur sa position en course.
Ferrari n’a en effet pas apprécié que son pilote Fernando Alonso, qui était juste derrière le Britannique aux moments des faits et qui a suivi le règlement en restant derrière la voiture de sécurité, ait terminé huitième en suivant les règles alors que Lewis Hamilton, qui a enfreint le règlement, se soit adjugé la deuxième place.
Et, un jour après les faits, la colère est toujours présente au sein de l’équipe italienne, son team principal Stefano Domenicali estimant que Ferrari a des raisons légitimes d’être mécontente.
"Nous devons être prudents en évitant de prendre une attitude contre-productive et de se plaindre juste pour le simple plaisir de le faire, car cela ne sert à rien," a déclaré Stefano Domenicali.
"Nous devons être très calmes dans des moments pareils, mais nous ne pouvons pas prétendre que rien ne s’est passé. Cependant, je le répète, la rationalité doit prévaloir sur les émotions, qui sont très fortes."
L’Italien explique que le plus gros reproche que Ferrari adresse à la FIA est le manque de rapidité dans la prise de décision de ses commissaires, ce qui a permis à Lewis Hamilton de se construire une avance suffisante afin de ne perdre aucune place en recevant un drive-through.
"Je pense que ce qui doit être fait est d’évaluer la sanction en gardant à l’esprit le temps de décision et la manière dont la course se développe. Il s’agit de problèmes importants. En regardant en arrière lors des analyses d’après-course, il est clair que vous êtes avantagé en ne suivant pas les règles car au final vous gagnez plus de points."
"Ce n’est pas bien du point de vue du principe du règlement sportif, et nous devons travailler là-dessus. Je pense que nous devons croire aux principes : cela s’est passé de cette manière aujourd’hui, espérons que ça sera différent la prochaine fois."
Quand il lui a été demandé s’il croyait qu’il y avait un parti pris en faveur de Lewis Hamilton, Stefano Domenicali a répondu : "Je veux croire que ce n’est pas le cas."
L’équipe de Maranello reproche tout particulièrement aux commissaires d’avoir tardé dans leur décision d’infliger un drive-through à Lewis Hamilton pour avoir dépassé la voiture de sécurité et la voiture médicale, une pénalité qui n’a ainsi eu aucune incidence sur sa position en course.
Ferrari n’a en effet pas apprécié que son pilote Fernando Alonso, qui était juste derrière le Britannique aux moments des faits et qui a suivi le règlement en restant derrière la voiture de sécurité, ait terminé huitième en suivant les règles alors que Lewis Hamilton, qui a enfreint le règlement, se soit adjugé la deuxième place.
Et, un jour après les faits, la colère est toujours présente au sein de l’équipe italienne, son team principal Stefano Domenicali estimant que Ferrari a des raisons légitimes d’être mécontente.
"Nous devons être prudents en évitant de prendre une attitude contre-productive et de se plaindre juste pour le simple plaisir de le faire, car cela ne sert à rien," a déclaré Stefano Domenicali.
"Nous devons être très calmes dans des moments pareils, mais nous ne pouvons pas prétendre que rien ne s’est passé. Cependant, je le répète, la rationalité doit prévaloir sur les émotions, qui sont très fortes."
L’Italien explique que le plus gros reproche que Ferrari adresse à la FIA est le manque de rapidité dans la prise de décision de ses commissaires, ce qui a permis à Lewis Hamilton de se construire une avance suffisante afin de ne perdre aucune place en recevant un drive-through.
"Je pense que ce qui doit être fait est d’évaluer la sanction en gardant à l’esprit le temps de décision et la manière dont la course se développe. Il s’agit de problèmes importants. En regardant en arrière lors des analyses d’après-course, il est clair que vous êtes avantagé en ne suivant pas les règles car au final vous gagnez plus de points."
"Ce n’est pas bien du point de vue du principe du règlement sportif, et nous devons travailler là-dessus. Je pense que nous devons croire aux principes : cela s’est passé de cette manière aujourd’hui, espérons que ça sera différent la prochaine fois."
Quand il lui a été demandé s’il croyait qu’il y avait un parti pris en faveur de Lewis Hamilton, Stefano Domenicali a répondu : "Je veux croire que ce n’est pas le cas."