Jusque chez Ferrari, on a tenu à affirmer que la course du Grand Prix d'Europe, dimanche, n'a pas été "manipulée", comme l'a affirmé "à chaud" Fernando Alonso.
Si beaucoup, à commencer par Ferrari, estiment que le règlement doit évoluer en ce qui concerne la Voiture de Sécurité, tout le monde a affirmé que les commissaires avaient fait de leur mieux pour que les sanctions soient les plus appropriées, en regard de l'arsenal répressif qu'offre ce règlement. Au sortir de son baquet, Alonso, arrivé 9e mais finalement classé 8e, ne partagé pas ce point de vue. Pour lui, la course a été "manipulée".
L'Espagnol n'a pas digéré que Lewis Hamilton dépasse la Voiture de Sécurité et soit ensuite pénalisé d'un drive-through, qui ne lui a pas fait perdre la moindre place. Alonso était juste derrière son ancien coéquipier lors de l'incident, à la troisième place. "En ne respectant pas les règles, il termine deuxième. Je les respecte et je passe la ligne à la 9e place", avait fulminé le double champion du monde estimant la course "manipulée".
"Il a dit cela sous le coup de la déception et de la course", a atténué le patron du team Ferrari Stefano Domenicali, lui-même passablement remonté. "Mais nous ne croyons pas que la course a été manipulée. Nous demandons à la FIA de revoir ce règlement. Il n'est pas normal d'enfreindre une telle règle et, au finale, d'en tirer bénéfice."
"Je ne pense pas que la course a été manipulée", a appuyé Christian Horner, le patron de Red Bull. "La règle sur la Voiture de Sécurité n'a pas profité à Ferrari et McLaren a eu un comportement à la limite et a été pénalisé pour cela. C'est vrai, ça ne leur a rien coûté mais c'est le règlement que la FIA serait bien inspirée de changer."
Pour Mike Gascoyne, le chef de l'équipe Lotus, c'est globalement le règlement sur la Voiture de Sécurité qui pose problème. "Depuis que nous nous sommes résolus à le changer, il y a toujours des scénarios différents qui se produisent. Il ne fait pas aller chercher plus loin. Charlie (Whiting, le directeur de course de la FIA), essaie de faire de son mieux. Comme nous tous."
Si beaucoup, à commencer par Ferrari, estiment que le règlement doit évoluer en ce qui concerne la Voiture de Sécurité, tout le monde a affirmé que les commissaires avaient fait de leur mieux pour que les sanctions soient les plus appropriées, en regard de l'arsenal répressif qu'offre ce règlement. Au sortir de son baquet, Alonso, arrivé 9e mais finalement classé 8e, ne partagé pas ce point de vue. Pour lui, la course a été "manipulée".
L'Espagnol n'a pas digéré que Lewis Hamilton dépasse la Voiture de Sécurité et soit ensuite pénalisé d'un drive-through, qui ne lui a pas fait perdre la moindre place. Alonso était juste derrière son ancien coéquipier lors de l'incident, à la troisième place. "En ne respectant pas les règles, il termine deuxième. Je les respecte et je passe la ligne à la 9e place", avait fulminé le double champion du monde estimant la course "manipulée".
"Il a dit cela sous le coup de la déception et de la course", a atténué le patron du team Ferrari Stefano Domenicali, lui-même passablement remonté. "Mais nous ne croyons pas que la course a été manipulée. Nous demandons à la FIA de revoir ce règlement. Il n'est pas normal d'enfreindre une telle règle et, au finale, d'en tirer bénéfice."
"Je ne pense pas que la course a été manipulée", a appuyé Christian Horner, le patron de Red Bull. "La règle sur la Voiture de Sécurité n'a pas profité à Ferrari et McLaren a eu un comportement à la limite et a été pénalisé pour cela. C'est vrai, ça ne leur a rien coûté mais c'est le règlement que la FIA serait bien inspirée de changer."
Pour Mike Gascoyne, le chef de l'équipe Lotus, c'est globalement le règlement sur la Voiture de Sécurité qui pose problème. "Depuis que nous nous sommes résolus à le changer, il y a toujours des scénarios différents qui se produisent. Il ne fait pas aller chercher plus loin. Charlie (Whiting, le directeur de course de la FIA), essaie de faire de son mieux. Comme nous tous."