Le pilote vedette de Renault Robert Kubica fait le point sur sa première demi-saison au service du Losange et parle de ses ambitions sur le nouveau Silverstone.
"C'est un circuit très enthousiasmant", rappelle Kubica. "Il présente pas mal de défis, surtout les six ou sept premiers virages qui sont impressionnants au volant des F1 actuelles. La plupart sont pris pratiquement à fond, voire à fond - cela dépend de la direction du vent - et dès qu'on sort d'un virage, on s'engage déjà dans le suivant : la vitesse à laquelle on peut négocier ces virages est impressionnante. Bien sûr, il y a aussi la nouvelle section cette année que j'ai vue sur Internet et à la TV pour le MotoGP : elle m'a l'air bosselée et très différente de la version précédente du circuit, mais je pense que globalement Silverstone est un endroit que tous les pilotes apprécient car il demande 100% du potentiel d'une F1 dans les virages très rapides.
"Je pense que personne ne s'attendait à ce que nous obtenions ces résultats"
Robert Kubica
"Parfaire la mise au point et trouver le bon équilibre est assez difficile à Silverstone car il y a une grande différence de contraintes entre les virages rapides et ceux qui sont plus lents - il n'y a pas vraiment de virage à vitesse moyenne, intermédiaire. Les appuis aérodynamiques sont un élément clé et il sera intéressant de voir si les nou veautés apportées lors de la dernière course nous procureront un avantage dans les secteurs rapides. Vendredi sera un bon test pour mesurer l'apport de ces développements."
À mi-saison, le Polonais occupe la 6e place du Championnat, un classement inespéré cet hiver : "Je pense que l'on peut l'analyser de deux manières. Bien sûr, un pilote espère toujours avoir une voiture gagnante mais en réalité, l'équipe et moi-même nous sommes rendus à la première course en espérant entrer dans le top dix ; nous pensions que tel était notre potentiel, après avoir fait du bon travail durant la période hivernale pour améliorer la voiture. Jusqu'à présent, nous avons été dans le top dix à toutes les courses, et, mis à part Bahreïn, j'ai fini septième ou mieux à toutes les courses. Globalement, nous pouvons être contents du travail accompli : au début, nous avions plus de marge de progression, mais nous avons réussi à nous rapprocher des équipes au top et les gars à l'usine ont vraiment travaillé très dur afin de maintenir le rythme de développement. Gagner les derniers dixièmes qui nous séparent de la tête du peloton sera très difficile mais je pense que nous pouvons être contents et très fiers de ce que nous avons réalisé jusqu'à présent après avoir commencé la saison assez loin. Je pense que personne ne s'attendait à ce que nous obtenions ces résultats".
"C'est un circuit très enthousiasmant", rappelle Kubica. "Il présente pas mal de défis, surtout les six ou sept premiers virages qui sont impressionnants au volant des F1 actuelles. La plupart sont pris pratiquement à fond, voire à fond - cela dépend de la direction du vent - et dès qu'on sort d'un virage, on s'engage déjà dans le suivant : la vitesse à laquelle on peut négocier ces virages est impressionnante. Bien sûr, il y a aussi la nouvelle section cette année que j'ai vue sur Internet et à la TV pour le MotoGP : elle m'a l'air bosselée et très différente de la version précédente du circuit, mais je pense que globalement Silverstone est un endroit que tous les pilotes apprécient car il demande 100% du potentiel d'une F1 dans les virages très rapides.
"Je pense que personne ne s'attendait à ce que nous obtenions ces résultats"
Robert Kubica
"Parfaire la mise au point et trouver le bon équilibre est assez difficile à Silverstone car il y a une grande différence de contraintes entre les virages rapides et ceux qui sont plus lents - il n'y a pas vraiment de virage à vitesse moyenne, intermédiaire. Les appuis aérodynamiques sont un élément clé et il sera intéressant de voir si les nou veautés apportées lors de la dernière course nous procureront un avantage dans les secteurs rapides. Vendredi sera un bon test pour mesurer l'apport de ces développements."
À mi-saison, le Polonais occupe la 6e place du Championnat, un classement inespéré cet hiver : "Je pense que l'on peut l'analyser de deux manières. Bien sûr, un pilote espère toujours avoir une voiture gagnante mais en réalité, l'équipe et moi-même nous sommes rendus à la première course en espérant entrer dans le top dix ; nous pensions que tel était notre potentiel, après avoir fait du bon travail durant la période hivernale pour améliorer la voiture. Jusqu'à présent, nous avons été dans le top dix à toutes les courses, et, mis à part Bahreïn, j'ai fini septième ou mieux à toutes les courses. Globalement, nous pouvons être contents du travail accompli : au début, nous avions plus de marge de progression, mais nous avons réussi à nous rapprocher des équipes au top et les gars à l'usine ont vraiment travaillé très dur afin de maintenir le rythme de développement. Gagner les derniers dixièmes qui nous séparent de la tête du peloton sera très difficile mais je pense que nous pouvons être contents et très fiers de ce que nous avons réalisé jusqu'à présent après avoir commencé la saison assez loin. Je pense que personne ne s'attendait à ce que nous obtenions ces résultats".