Mark Webber estime que les tensions au sein de l'écurie Red Bull team au Grand Prix de Grande-Bretagne ont été disproportionnées mais qu'il n'a pas de regret sur ce qu'il a dit à la radio.
"Je n'aurais jamais signé un nouveau contrat si j'avais su que ça allait se passer comme ça", avait lancé Webber, pourtant vainqueur en Grande-Bretagne, après la course. "Pas mal pour un numéro 2", avait-il également déclaré dans sa radio à son patron, Christian Horner.
"Je n'ai aucun regret, aucun", a-t-il toutefois commencé par déclarer jeudi. "Je suis un sportif. Ce genre de choses se produit dans les moments chauds. J'aurais dû utiliser un langage plus fleuri au début et à la fin de ma transmission radio", a avancé Webber, connu pour sa capacité à jurer. "Comme ça, personne ne l'aurait utilisé. Mais j'ai été poli et c'est passé. Et d'autres personnes ont pu entendre ce que j'avais à dire."
Quelques heures plus tard, le 3e du classement général s'est montré plus zen encore. "Sebastian n'a rien commis à mon encontre. C'est totalement évident. Il a fait ce qu'il avait à faire. (...) Malheureusement, nous n'avons pas pu réaliser un doublé, comme nous étions largement capables de le faire."
Et d'ajouter : "C'est naturel que les médias essaient de monter une belle rivalité entre nous. Seb et moi avons en commun de travailler pour même la équipe et d'avoir avec les mêmes objectifs, ce qui est tout à fait normal. L'écurie continue d'apprendre, ce qui est saint."
Vettel, héros local, s'est montré plus ironique. "Autant que j'ai pu le comprendre, Red Bull vend toujours autant de cannettes" malgré la polémique", a-t-il souri, applaudissant le "super résultat" de son coéquipier, qui, "pour certaines raisons", n'a "malheureusement pas abouti à un retour positif".
Et l'Allemand, 4e au général, à 7 points de Webber, de se montrer collectif. "Qui gagne la course n'a pas d'importance. L'important est que l'équipe gagne. L'équipe est motivée comme jamais. Le principal est que l'ambiance en interne n'ait pas changé".
"J'aurais dû utiliser un langage plus fleuri au début et à la fin de ma transmission radio"
Mark Webber
Après son départ catastrophique à Silverstone, qui l'avait condamné à une 7e place finale alors qu'il partait de la pole position, Sebastian Vettel aspire à une course limpide devant son public. Et surtout à venger l'affront de l'an passé, quand Webber s'était adjugé la victoire sur ses terres.
Les deux premiers du classement général, les Britanniques Lewis Hamilton et Jenson Button, sur McLaren, feront évidemment tout pour lui compliquer la tâche.
"J'ai remporté la dernière course à Hockenheim en 2008 (le GP d'Allemagne se déroule un an sur deux au Nürburgring, NDLR). Nous avions une voiture fantastique. J'avais fait la pole et je m'étais bien battu après une neutralisation de la course à mi-GP", s'est souvenu Hamilton.
Et le champion 2008 de poursuivre, gourmand : "J'aimerais connaître le même genre de résultat le prochain week-end..."
"Je n'aurais jamais signé un nouveau contrat si j'avais su que ça allait se passer comme ça", avait lancé Webber, pourtant vainqueur en Grande-Bretagne, après la course. "Pas mal pour un numéro 2", avait-il également déclaré dans sa radio à son patron, Christian Horner.
"Je n'ai aucun regret, aucun", a-t-il toutefois commencé par déclarer jeudi. "Je suis un sportif. Ce genre de choses se produit dans les moments chauds. J'aurais dû utiliser un langage plus fleuri au début et à la fin de ma transmission radio", a avancé Webber, connu pour sa capacité à jurer. "Comme ça, personne ne l'aurait utilisé. Mais j'ai été poli et c'est passé. Et d'autres personnes ont pu entendre ce que j'avais à dire."
Quelques heures plus tard, le 3e du classement général s'est montré plus zen encore. "Sebastian n'a rien commis à mon encontre. C'est totalement évident. Il a fait ce qu'il avait à faire. (...) Malheureusement, nous n'avons pas pu réaliser un doublé, comme nous étions largement capables de le faire."
Et d'ajouter : "C'est naturel que les médias essaient de monter une belle rivalité entre nous. Seb et moi avons en commun de travailler pour même la équipe et d'avoir avec les mêmes objectifs, ce qui est tout à fait normal. L'écurie continue d'apprendre, ce qui est saint."
Vettel, héros local, s'est montré plus ironique. "Autant que j'ai pu le comprendre, Red Bull vend toujours autant de cannettes" malgré la polémique", a-t-il souri, applaudissant le "super résultat" de son coéquipier, qui, "pour certaines raisons", n'a "malheureusement pas abouti à un retour positif".
Et l'Allemand, 4e au général, à 7 points de Webber, de se montrer collectif. "Qui gagne la course n'a pas d'importance. L'important est que l'équipe gagne. L'équipe est motivée comme jamais. Le principal est que l'ambiance en interne n'ait pas changé".
"J'aurais dû utiliser un langage plus fleuri au début et à la fin de ma transmission radio"
Mark Webber
Après son départ catastrophique à Silverstone, qui l'avait condamné à une 7e place finale alors qu'il partait de la pole position, Sebastian Vettel aspire à une course limpide devant son public. Et surtout à venger l'affront de l'an passé, quand Webber s'était adjugé la victoire sur ses terres.
Les deux premiers du classement général, les Britanniques Lewis Hamilton et Jenson Button, sur McLaren, feront évidemment tout pour lui compliquer la tâche.
"J'ai remporté la dernière course à Hockenheim en 2008 (le GP d'Allemagne se déroule un an sur deux au Nürburgring, NDLR). Nous avions une voiture fantastique. J'avais fait la pole et je m'étais bien battu après une neutralisation de la course à mi-GP", s'est souvenu Hamilton.
Et le champion 2008 de poursuivre, gourmand : "J'aimerais connaître le même genre de résultat le prochain week-end..."