La grosse montée en performance de Renault cette année résulte de l’attitude positive de Robert Kubica. C’est en tout cas ce que le team principal de Renault, Eric Boullier, a déclaré à Autosport.
Alors que la saison dernière l’écurie au losange se battait pour la huitième position au championnat des constructeurs, elle se retrouve aujourd’hui au coude à coude avec Mercedes GP dans la lutte pour la quatrième place.
"La plus grande force est le dévouement des gens. Compétence, investissement et esprit d’équipe – tout cela est très important, car cela signifie que vous pouvez tirer le maximum de la personne," a déclaré Eric Boullier.
"La clé réside selon moi dans le pilote qui pousse l’équipe car il veut gagner, il veut clairement faire du mieux qu’il peut. Cela change complètement le cas de figure. Selon moi, la plus grande faiblesse de l’écurie l’année dernière fut le manque d’implication des pilotes."
En ce qui concerne la gestion de l’équipe par le passé, à la suite des deux titres mondiaux décrochés par Fernando Alonso en 2005 et 2006, Eric Boullier se montre assez critique.
"Nous savions que sur le papier, l’équipe était capable de gagner le championnat, mais aussi de terminer huitième comme l’année passée. Nous avons commencé à comprendre comment amener l’écurie dans une position plus confortable – et c’est ce que l’on est occupé à faire actuellement."
"Je pense qu’il y a eu un manque au niveau de la gestion, de la haute direction et des objectifs à atteindre. C’est difficile à dire, car je n’ai pas envie de critiquer. [Mais] la situation des pilotes… Avec Alonso de retour chez Renault après son passage chez McLaren, puis la signature du contrat avec Ferrari… Un pilote est un atout pour l’équipe et s’il n’est pas motivé, ne pousse pas assez… Il savait qu’il allait être transféré."
"C’était important pour moi, et c’est ce qu’a fait Kubica. Il a apporté énormément de fraicheur et de motivation. Le manque de résultats était en train de pousser l’équipe vers le bas, car ils sont vraiment dévoués – l’absence de résultats était donc très démotivante pour eux."
"Aucune gestion dans l’orientation de l’équipe, des pilotes arrogants avec qui il était difficile de travailler, ne poussant pas l’écurie dans la bonne direction. Ce fut clairement les deux principales raisons à nos piètres performances."
Alors que la saison dernière l’écurie au losange se battait pour la huitième position au championnat des constructeurs, elle se retrouve aujourd’hui au coude à coude avec Mercedes GP dans la lutte pour la quatrième place.
"La plus grande force est le dévouement des gens. Compétence, investissement et esprit d’équipe – tout cela est très important, car cela signifie que vous pouvez tirer le maximum de la personne," a déclaré Eric Boullier.
"La clé réside selon moi dans le pilote qui pousse l’équipe car il veut gagner, il veut clairement faire du mieux qu’il peut. Cela change complètement le cas de figure. Selon moi, la plus grande faiblesse de l’écurie l’année dernière fut le manque d’implication des pilotes."
En ce qui concerne la gestion de l’équipe par le passé, à la suite des deux titres mondiaux décrochés par Fernando Alonso en 2005 et 2006, Eric Boullier se montre assez critique.
"Nous savions que sur le papier, l’équipe était capable de gagner le championnat, mais aussi de terminer huitième comme l’année passée. Nous avons commencé à comprendre comment amener l’écurie dans une position plus confortable – et c’est ce que l’on est occupé à faire actuellement."
"Je pense qu’il y a eu un manque au niveau de la gestion, de la haute direction et des objectifs à atteindre. C’est difficile à dire, car je n’ai pas envie de critiquer. [Mais] la situation des pilotes… Avec Alonso de retour chez Renault après son passage chez McLaren, puis la signature du contrat avec Ferrari… Un pilote est un atout pour l’équipe et s’il n’est pas motivé, ne pousse pas assez… Il savait qu’il allait être transféré."
"C’était important pour moi, et c’est ce qu’a fait Kubica. Il a apporté énormément de fraicheur et de motivation. Le manque de résultats était en train de pousser l’équipe vers le bas, car ils sont vraiment dévoués – l’absence de résultats était donc très démotivante pour eux."
"Aucune gestion dans l’orientation de l’équipe, des pilotes arrogants avec qui il était difficile de travailler, ne poussant pas l’écurie dans la bonne direction. Ce fut clairement les deux principales raisons à nos piètres performances."