Fernando Alonso, actuellement cinquième dans le classement des pilotes, croit qu'il a une chance sur deux d'être couronné cette saison.
Lors de la conférence de presse du jeudi, en prévision du GP de Belgique, un journaliste lui a demandé d'évaluer ses chances. "50%, ça pourrait aller d'un côté ou de l'autre", a répondu le pilote Ferrari. "Si nous faisons mieux que les autres au cours des sept dernières épreuves, nous gagnerons le championnat. Si quelqu'un fait mieux que nous, ils remporteront le titre."
Les cinq premiers pilotes du classement sont actuellement concentrés à l'intérieur d'une marge de 20 points. Une victoire en vaut 25, alors l'ordre peut rapidement changer si un des candidats au titre connaît un week-end difficile.
"Nous repartons à zéro ou presque", a commenté Alonso. "Au fond, nous débutons un mini-championnat de sept courses."
"Évidemment, la chance sera un facteur, il faut toujours être chanceux. Par exemple, il pourrait pleuvoir pendant cette course et vous devrez alors prendre les bonnes décisions au bon moment. Ensuite, il faudra apporter des améliorations à la voiture pour qu'elle soit plus rapide que celle des autres. Il y a une course sur la piste et une autre à l'usine."
"Nous avons maintenant un package très compétitif, mais nous savons que ce sera très dur. Red Bull sera forte partout et McLaren sera forte sur certains circuits, comme celui-ci et à Monza", a estimé Alonso.
"Mais je crois que nous avons assez de vitesse pour nous battre pour le championnat. Il n'y a aucune raison d'être pessimiste, en fait c'est tout le contraire : il faut demeurer concentré, croire en nous-mêmes et avoir foi en notre travail."
Mais sur le court terme, en ce qui concerne le Grand Prix de Belgique du moins, l'Asturien croit que Red Bull sera l'équipe à battre : "Je ne vois pas pourquoi ils auraient perdu un avantage d'une seconde depuis la Hongrie."
Lors de la conférence de presse du jeudi, en prévision du GP de Belgique, un journaliste lui a demandé d'évaluer ses chances. "50%, ça pourrait aller d'un côté ou de l'autre", a répondu le pilote Ferrari. "Si nous faisons mieux que les autres au cours des sept dernières épreuves, nous gagnerons le championnat. Si quelqu'un fait mieux que nous, ils remporteront le titre."
Les cinq premiers pilotes du classement sont actuellement concentrés à l'intérieur d'une marge de 20 points. Une victoire en vaut 25, alors l'ordre peut rapidement changer si un des candidats au titre connaît un week-end difficile.
"Nous repartons à zéro ou presque", a commenté Alonso. "Au fond, nous débutons un mini-championnat de sept courses."
"Évidemment, la chance sera un facteur, il faut toujours être chanceux. Par exemple, il pourrait pleuvoir pendant cette course et vous devrez alors prendre les bonnes décisions au bon moment. Ensuite, il faudra apporter des améliorations à la voiture pour qu'elle soit plus rapide que celle des autres. Il y a une course sur la piste et une autre à l'usine."
"Nous avons maintenant un package très compétitif, mais nous savons que ce sera très dur. Red Bull sera forte partout et McLaren sera forte sur certains circuits, comme celui-ci et à Monza", a estimé Alonso.
"Mais je crois que nous avons assez de vitesse pour nous battre pour le championnat. Il n'y a aucune raison d'être pessimiste, en fait c'est tout le contraire : il faut demeurer concentré, croire en nous-mêmes et avoir foi en notre travail."
Mais sur le court terme, en ce qui concerne le Grand Prix de Belgique du moins, l'Asturien croit que Red Bull sera l'équipe à battre : "Je ne vois pas pourquoi ils auraient perdu un avantage d'une seconde depuis la Hongrie."