Lors de son passage sur le circuit de Monza (nord), où plusieurs écuries de F1 procèdent actuellement à des tests, le dirigeant, interrogé pour savoir si les deux pilotes de la monoplace seraient les mêmes en 2009, a simplement répondu: "Absolument, oui".
L'Espagnol Fernando Alonso, que certaines rumeurs annoncent comme possible recrue de la Scuderia, peut donc rester tranquille dans son coin, ont alors rétorqué les journalistes à di Montezemolo.
"Je ne sais pas si, le pauvre, il peut rester tranquille, en ce moment cela dépend de lui", a répondu le dirigeant en allusion à la saison difficile de l'Espagnol, ajoutant: "Je suis déçu de voir qu'un grand champion comme lui n'est pas dans les dix premiers à Valence (lors du dernier GP, le 24 août, où il a abandonné dès le 1er tour suite à un accrochage, NDLR). Mais en ce qui concerne la Ferrari, il peut rester tranquille...
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Egalement interrogé sur les difficultés actuelles de Räikkönen, 3e au championnat du monde (57 pts) derrière le Britannique Lewis Hamilton (1er, 70 pts) et Massa (2e, 64 pts), le dirigeant a assuré que le Finlandais n'était "pas en crise".
"Il est motivé, et nous devons travailler pour le mettre en condition de partir plus rapidement, a-t-il expliqué, surtout sur ces nouveaux circuits qui ne me plaisent pas et qui font mal à la Formule 1: on ne réussit plus à doubler, et, 9 fois sur 10, c'est celui qui a la pole position qui gagne".
"Toutes ces critiques sur Räikönnen me rappellent lorsque (Filippo) Inzaghi était à la Juve, a-t-il poursuivi. S'il ne marquait pas pendant trois matches, tout le monde disait qu'il était en crise..."