McLaren apporte son plein soutien au changement radical de moteur qui est entériné en F1. Le passage au 1,6 litre et le retour aux turbos est pour 2013.
Tim Goss, le responsable moteurs de McLaren, s'est montré satisfait d'une décision qui a été prise, il est vrai, par un Conseil mondial au sein duquel les écuries ont un poids important.
"C'était la bonne chose à faire", a-t-til déclaré. "La technologie de la F1 était bloquée sur les spécifications actuelles des moteurs alors que les autres disciplines ont continué à avancer. La F1 doit maintenant montrer à nouveau qu'elle est à l'avant-garde. Et pour cela on doit promouvoir son efficacité."
"Le fait de faire ce changement radical en passant aux quatre cylindres avec beaucoup de liberté en terme d'extraction va développer les technologies liées aux carburants ce qui, au final, va profiter aux voitures de série. Alors, en termes de règlementation sur les moteurs c'est le bonne chose à faire et nous soutenons cela."
Alors que son homologue chez Ferrari Luca Marmorini est plus nuancé, souhaitant un V6 et se plaignant de ne pas avoir assez de temps pour tant de changements, Goss lui porte la contradiction : "Il y a assez de temps", a-t-il dit, "tant que les décisions sont prises rapidement et que tout le monde veut les intégrer au plus vite. La FIA a encore du travail mais je suis sûr que tout sera éclairci très rapidement."
Goss est moins enthousiaste quand il s'agit du retour de l'effet de sol, vu comme une possibilité d'occasionner davantage de dépassements. "On a déjà des nouveautés dans le règlement en 2011 avec les ailerons arrières ajustables. Il faut maîtriser la manière avec laquelle la F1 reste un show. On a eu une saison fantastique cette année. Il faut maintenant voir comment on peut tirer le meilleur des nouveaux ailerons arrières.
Tim Goss, le responsable moteurs de McLaren, s'est montré satisfait d'une décision qui a été prise, il est vrai, par un Conseil mondial au sein duquel les écuries ont un poids important.
"C'était la bonne chose à faire", a-t-til déclaré. "La technologie de la F1 était bloquée sur les spécifications actuelles des moteurs alors que les autres disciplines ont continué à avancer. La F1 doit maintenant montrer à nouveau qu'elle est à l'avant-garde. Et pour cela on doit promouvoir son efficacité."
"Le fait de faire ce changement radical en passant aux quatre cylindres avec beaucoup de liberté en terme d'extraction va développer les technologies liées aux carburants ce qui, au final, va profiter aux voitures de série. Alors, en termes de règlementation sur les moteurs c'est le bonne chose à faire et nous soutenons cela."
Alors que son homologue chez Ferrari Luca Marmorini est plus nuancé, souhaitant un V6 et se plaignant de ne pas avoir assez de temps pour tant de changements, Goss lui porte la contradiction : "Il y a assez de temps", a-t-il dit, "tant que les décisions sont prises rapidement et que tout le monde veut les intégrer au plus vite. La FIA a encore du travail mais je suis sûr que tout sera éclairci très rapidement."
Goss est moins enthousiaste quand il s'agit du retour de l'effet de sol, vu comme une possibilité d'occasionner davantage de dépassements. "On a déjà des nouveautés dans le règlement en 2011 avec les ailerons arrières ajustables. Il faut maîtriser la manière avec laquelle la F1 reste un show. On a eu une saison fantastique cette année. Il faut maintenant voir comment on peut tirer le meilleur des nouveaux ailerons arrières.
