Selon Christian Horner, le patron de l'écurie Red Bull, la FIA a ouvert la porte aux consignes d'équipe en ne pénalisant pas Ferrari au-delà des 100 000 $ imposés par les commissaires du Grand Prix d'Allemagne.
"Après ce que Ferrari a fait à Hockenheim, il n'y a eu aucune conséquence sur les résultats mis à part une pénalité financière", souligne Horner, tel que rapporté par Autosport. "Donc, théoriquement, si toute équipe se retrouve dans cette situation et souhaite inverser l'ordre de ses voitures, il existe maintenant un précédent."
"La pénalité pour ce qui est arrivé à Hockenheim a été de 100 000 $", ajoute-t-il. "Est-ce que cela signifie que nous pouvons faire la même chose au cours des dernières cinq ou six courses de l'année ?"
La situation est d'autant plus étrange que le Conseil mondial est d'avis que des consignes d'équipes ont effectivement eu lieu chez Ferrari lors du GP d'Allemagne, ce qui justifie l'existence de la pénalité financière, mais le manque de preuves directes prévient toute sanction additionnelle.
Et puisqu'un flou existait déjà sur le sujet, la FIA a plutôt choisi de revoir le règlement. D'après Horner, il s'agit là de la seule chose que cette audience devant le Conseil mondial du sport automobile ait permis de reconnaître : éliminer la zone grise et clarifier cette question une fois pour toutes est la meilleure solution.
"Il faut soit interdire les consignes d'équipe ou les autoriser de façon très transparente", déclare Horner. "Vous ne pouvez pas être à demi-enceinte. C'est un ou l'autre."
Si certaines conditions sont réunies, le patron de Red Bull serait prêt a favoriser un pilote au détriment de son coéquipier, mais seulement en fin de saison et pas avant d'avoir fait une évaluation "mathématique et pratique" de la situation.
"Si un pilote a 60 points d'avance alors qu'il ne reste que 75 points à prendre, alors ça devient évident."
"Après ce que Ferrari a fait à Hockenheim, il n'y a eu aucune conséquence sur les résultats mis à part une pénalité financière", souligne Horner, tel que rapporté par Autosport. "Donc, théoriquement, si toute équipe se retrouve dans cette situation et souhaite inverser l'ordre de ses voitures, il existe maintenant un précédent."
"La pénalité pour ce qui est arrivé à Hockenheim a été de 100 000 $", ajoute-t-il. "Est-ce que cela signifie que nous pouvons faire la même chose au cours des dernières cinq ou six courses de l'année ?"
La situation est d'autant plus étrange que le Conseil mondial est d'avis que des consignes d'équipes ont effectivement eu lieu chez Ferrari lors du GP d'Allemagne, ce qui justifie l'existence de la pénalité financière, mais le manque de preuves directes prévient toute sanction additionnelle.
Et puisqu'un flou existait déjà sur le sujet, la FIA a plutôt choisi de revoir le règlement. D'après Horner, il s'agit là de la seule chose que cette audience devant le Conseil mondial du sport automobile ait permis de reconnaître : éliminer la zone grise et clarifier cette question une fois pour toutes est la meilleure solution.
"Il faut soit interdire les consignes d'équipe ou les autoriser de façon très transparente", déclare Horner. "Vous ne pouvez pas être à demi-enceinte. C'est un ou l'autre."
Si certaines conditions sont réunies, le patron de Red Bull serait prêt a favoriser un pilote au détriment de son coéquipier, mais seulement en fin de saison et pas avant d'avoir fait une évaluation "mathématique et pratique" de la situation.
"Si un pilote a 60 points d'avance alors qu'il ne reste que 75 points à prendre, alors ça devient évident."