Alors qu'il ne reste que cinq courses à disputer au championnat 2010, Sebastian Vettel est d'avis que ses rivaux au titre ont beaucoup plus d'inquiétudes que lui.
Le pilote Red Bull est actuellement cinquième dans le classement des pilotes ; il se trouve à 24 points du leader, son coéquipier Mark Webber. Lewis Hamilton, Fernando Alonso et Jenson Button sont les trois autres prétendants à la couronne.
Vettel a beau être le dernier sur la liste, il sait que tout est encore possible quand l'écart de points est aussi serré. La stratégie de l'Allemand est d'ailleurs très simple.
"Oui, je suis plus loin derrière, mais ce sont les autres qui ont à s'inquiéter et à défendre leur avance", explique Vettel. "En ce qui me concerne, il faut y aller à fond et les rattraper."
"Il reste cinq courses à faire et beaucoup de points à aller chercher. Si vous regardez les années précédentes (sous l'ancien barème), avoir dix points de retard - ce qui équivaut à plus ou moins 25 points aujourd'hui - ce n'est pas énorme."
Vettel est le vice-champion de la saison 2009 ; cette expérience lui servira cette année : "Une des leçons apprises l'an dernier, c'est qu'il ne faut jamais cesser d'y croire. Alors il n'y a aucune raison de précipiter les choses et aucune raison de paniquer."
Après une course désastreuse en Belgique où il n'a marqué aucun point, sa quatrième place en Italie est une petite victoire en soi. Surtout quand on sait que les exigences du très rapide tracé de Monza ne convenaient pas entièrement à la Red Bull.
"Nous avons tiré le maximum de notre ensemble en Italie, et c'est tout ce qui compte", dit Vettel. "Si nous faisons la même chose au cours des cinq prochaines courses, nous pourrons en être fiers peu importe le résultat."
Le pilote Red Bull est actuellement cinquième dans le classement des pilotes ; il se trouve à 24 points du leader, son coéquipier Mark Webber. Lewis Hamilton, Fernando Alonso et Jenson Button sont les trois autres prétendants à la couronne.
Vettel a beau être le dernier sur la liste, il sait que tout est encore possible quand l'écart de points est aussi serré. La stratégie de l'Allemand est d'ailleurs très simple.
"Oui, je suis plus loin derrière, mais ce sont les autres qui ont à s'inquiéter et à défendre leur avance", explique Vettel. "En ce qui me concerne, il faut y aller à fond et les rattraper."
"Il reste cinq courses à faire et beaucoup de points à aller chercher. Si vous regardez les années précédentes (sous l'ancien barème), avoir dix points de retard - ce qui équivaut à plus ou moins 25 points aujourd'hui - ce n'est pas énorme."
Vettel est le vice-champion de la saison 2009 ; cette expérience lui servira cette année : "Une des leçons apprises l'an dernier, c'est qu'il ne faut jamais cesser d'y croire. Alors il n'y a aucune raison de précipiter les choses et aucune raison de paniquer."
Après une course désastreuse en Belgique où il n'a marqué aucun point, sa quatrième place en Italie est une petite victoire en soi. Surtout quand on sait que les exigences du très rapide tracé de Monza ne convenaient pas entièrement à la Red Bull.
"Nous avons tiré le maximum de notre ensemble en Italie, et c'est tout ce qui compte", dit Vettel. "Si nous faisons la même chose au cours des cinq prochaines courses, nous pourrons en être fiers peu importe le résultat."