D'après Fernando Alonso, vainqueur du Grand Prix d'Italie le week-end dernier, sa Ferrari sera compétitive peu importe le circuit. Voilà de quoi l'encourager.
"Bien que je n'aie pas marqué de points à Spa (GP de Belgique), Ferrari et moi avons marqué plus de points qui quiconque au cours des quatre dernières courses," écrit-il sur son blogue. "Nous sommes encore plus confiants. Et le fait que ces résultats aient été obtenus sur des circuits aux caractéristiques très différentes confirme que notre voiture est assez versatile."
À la conclusion de la manche italienne, Alonso est passé de la cinquième à la troisième place du classement des pilotes. Avec cinq courses à faire, l'Espagnol est actuellement à 21 points de Mark Webber. Quant au classement des constructeurs, Ferrari est à 60 points de Red Bull. Tout est encore possible.
"Quand les choses se sont mal passés à Spa, c'était difficile de dire ce que nous serions en mesure d'accomplir (à Monza)", admet Alonso. "Nous savions que si nous faisions de notre mieux, nous aurions notre chance et c'est ainsi que les choses se sont déroulées. Il faut maintenant tenter d'accomplir la même chose au cours des cinq dernières courses du championnat."
Le pilote Ferrari a placé le mérite de sa victoire sur les épaules de ses mécanos, qui ont gagné les quelques dixièmes de seconde qu'il lui fallait pour conserver la tête de la course, et ce de justesse. Dans les minutes suivant sa victoire, debout devant une mer de fans, la cérémonie du podium a été plus que mémorable.
"Il y a une passion pour Ferrari partout au monde, mais ici c'est encore plus fort. J'ai eu la chance de remporter le Grand Prix d'Italie au volant d'une voiture italienne."
Mardi, le double champion s'est rendu à l'usine de Maranello : "C'était très agréable de soulever le trophée du vainqueur une nouvelle fois, devant toutes les personnes ayant rendu cette victoire possible. En commençant avec les gars qui ont effectué l'arrêt aux stands."
"Bien que je n'aie pas marqué de points à Spa (GP de Belgique), Ferrari et moi avons marqué plus de points qui quiconque au cours des quatre dernières courses," écrit-il sur son blogue. "Nous sommes encore plus confiants. Et le fait que ces résultats aient été obtenus sur des circuits aux caractéristiques très différentes confirme que notre voiture est assez versatile."
À la conclusion de la manche italienne, Alonso est passé de la cinquième à la troisième place du classement des pilotes. Avec cinq courses à faire, l'Espagnol est actuellement à 21 points de Mark Webber. Quant au classement des constructeurs, Ferrari est à 60 points de Red Bull. Tout est encore possible.
"Quand les choses se sont mal passés à Spa, c'était difficile de dire ce que nous serions en mesure d'accomplir (à Monza)", admet Alonso. "Nous savions que si nous faisions de notre mieux, nous aurions notre chance et c'est ainsi que les choses se sont déroulées. Il faut maintenant tenter d'accomplir la même chose au cours des cinq dernières courses du championnat."
Le pilote Ferrari a placé le mérite de sa victoire sur les épaules de ses mécanos, qui ont gagné les quelques dixièmes de seconde qu'il lui fallait pour conserver la tête de la course, et ce de justesse. Dans les minutes suivant sa victoire, debout devant une mer de fans, la cérémonie du podium a été plus que mémorable.
"Il y a une passion pour Ferrari partout au monde, mais ici c'est encore plus fort. J'ai eu la chance de remporter le Grand Prix d'Italie au volant d'une voiture italienne."
Mardi, le double champion s'est rendu à l'usine de Maranello : "C'était très agréable de soulever le trophée du vainqueur une nouvelle fois, devant toutes les personnes ayant rendu cette victoire possible. En commençant avec les gars qui ont effectué l'arrêt aux stands."