Confirmés hier, les contacts entre Kimi Räikkönen et le Renault F1 Team ont fait beaucoup parler d’eux. Cependant, rien n’est encore joué puisque plusieurs obstacles restent à déjouer avant de voir le pilote finlandais au volant d’une Renault…
Engagé cette année chez Citroën en WRC, le champion 2007 de Formule 1 Kimi Räikkönen ne semble pas réellement à l’aise dans le championnat dominé par Sébastien Loeb. Le finlandais, qui a confirmé son intérêt pour le Renault F1 Team, devra faire face à la concurrence, notamment l’actuel second pilote : Vitaly Petrov.
« Il fait quand même un très bon travail. Il grandit. Il arrive à maturité correctement. Je le presse parce qu’on a besoin d’être rassuré sur son potentiel le plus vite possible. On veut le garder », a déclaré ce mercredi Eric Boullier pour l’AFP repris par Motorsport.Nextgen-Auto.com. Le jeune russe disposerait d’une « dernière chance » dans le cadre du GP de Singapour, la semaine prochaine : sur un circuit qu’il découvre, il devra montrer toutes ses qualités pour convaincre Renault de le conserver la saison prochaine.
Si Vitaly Petrov ne se montrait pas à la hauteur, la piste Kimi Räikkönen pourrait se montrer de plus en plus sérieuse. Eric Boullier s’estime flatté par l’intérêt du finlandais pour son équipe. « C’est lui qui nous a contactés. C’est flatteur, car cela montre que l’écurie est attractive pour un champion du monde de F1 », ajoute le team manager du Renault F1 Team.
Seul soucis, et de taille : le salaire que demande le finlandais. Chez Ferrari, le finlandais touchait au moins 15 millions d’euros par an alors que Renault ne pourra en aucun cas lui en offrir autant. Mais les discutions à ce sujet sont loin d’être débutées, précise Eric Boullier. « Il faudra nous convaincre de sa motivation. Je pense que ses prétentions seront révisées à l’économie actuelle. Mais on n’en est pas, loin de là, à discuter de cela avec lui. »
Engagé cette année chez Citroën en WRC, le champion 2007 de Formule 1 Kimi Räikkönen ne semble pas réellement à l’aise dans le championnat dominé par Sébastien Loeb. Le finlandais, qui a confirmé son intérêt pour le Renault F1 Team, devra faire face à la concurrence, notamment l’actuel second pilote : Vitaly Petrov.
« Il fait quand même un très bon travail. Il grandit. Il arrive à maturité correctement. Je le presse parce qu’on a besoin d’être rassuré sur son potentiel le plus vite possible. On veut le garder », a déclaré ce mercredi Eric Boullier pour l’AFP repris par Motorsport.Nextgen-Auto.com. Le jeune russe disposerait d’une « dernière chance » dans le cadre du GP de Singapour, la semaine prochaine : sur un circuit qu’il découvre, il devra montrer toutes ses qualités pour convaincre Renault de le conserver la saison prochaine.
Si Vitaly Petrov ne se montrait pas à la hauteur, la piste Kimi Räikkönen pourrait se montrer de plus en plus sérieuse. Eric Boullier s’estime flatté par l’intérêt du finlandais pour son équipe. « C’est lui qui nous a contactés. C’est flatteur, car cela montre que l’écurie est attractive pour un champion du monde de F1 », ajoute le team manager du Renault F1 Team.
Seul soucis, et de taille : le salaire que demande le finlandais. Chez Ferrari, le finlandais touchait au moins 15 millions d’euros par an alors que Renault ne pourra en aucun cas lui en offrir autant. Mais les discutions à ce sujet sont loin d’être débutées, précise Eric Boullier. « Il faudra nous convaincre de sa motivation. Je pense que ses prétentions seront révisées à l’économie actuelle. Mais on n’en est pas, loin de là, à discuter de cela avec lui. »