Bernie Ecclestone a insisté sur le fait qu’il n’était pas contre l’idée d’un Grand Prix de France, mais qu’aucune solution ne permettait la réintroduction d’un circuit français au calendrier de la F1. « Le circuit du Paul Ricard est probablement l’un des meilleurs au monde », a confié l’argentier de la F1 au journal l’Equipe. « Mais nous n’avons toujours pas d’endroit pour courir. Vous connaissez le problème. Le Grand Prix a un avenir mais où est le promoteur ? Je pensais réellement que le projet autour de Paris allait se concrétiser. »
Bernie confirme qu’il ne tourne pas le dos à la France mais qu’il attend toujours des propositions concrètes. « Je suis prêt à signer le contrat dès que possible, du moment qu’on vienne me voir en me disant « J’ai de l’argent et un circuit pour organiser un Grand Prix ». Je serai heureux, du moment que l’on court en France. » Mais Bernie Ecclestone se garde toutefois de parler du projet de retour de Magny-Cours, dont son isolement n’est guère apprécié par Bernie.
Bernie confirme qu’il ne tourne pas le dos à la France mais qu’il attend toujours des propositions concrètes. « Je suis prêt à signer le contrat dès que possible, du moment qu’on vienne me voir en me disant « J’ai de l’argent et un circuit pour organiser un Grand Prix ». Je serai heureux, du moment que l’on court en France. » Mais Bernie Ecclestone se garde toutefois de parler du projet de retour de Magny-Cours, dont son isolement n’est guère apprécié par Bernie.