Fin septembre, se tiendra le tout premier Grand Prix de F1 nocturne. L'épreuve urbaine de Singapour a en effet planifié sa course à l'heure habituelle de diffusion européenne qui correspond, ça tombe bien, au Prime Time chez eux. Essais Libres (la deuxième séance), essais qualificatifs et course se disputeront donc à 20h locales, donc de nuit.
Mais l'enthousiasme (relatif, disons plutôt l'absence d'inquiétude) qui a prévalu lors des premiers tests s'émousse petit à petit chez les pilotes. Le GPDA, par la voix de Jarno Trulli, s'en fait l'écho.
En fait, c'est le manque de tests in situ qui inquiète l'association des pilotes.
"Nous sommes assez soucieux. Nous allons courir là-bas mais nous n'avons jamais testé la piste et nous n'avons aucune idée de comment cela va se passer. Cela va être une course de nuit qui se déroulera pendant la saison des pluies, et franchement, ce n'est pas exactement ce qu'il y a de mieux d'un point de vue sécurité. Cela ne met pas vraiment en confiance."
Et ce ne sont pas les bons retours des pilotes de Moto GP qui ont disputé l'épreuve du Qatar de nuit qui rassurent Jarno Trulli :
" Le fait qu'il n'y ait pas eu d'incidents majeurs ne veut rien dire car piloter une moto n'a rien à voir avec le pilotage d'une F1. Et ils ont couru sur un vrai circuit alors que, nous, nous serons sur une piste tracée en ville. Ils avaient des dégagements, nous aurons des murs !"
Outre la crainte légitime des pilotes de découvrir autant de nouveautés sur une seule épreuve, on peut effectivement se demander si le cumul des situations à risques sur une épreuve inaugurale n'est pas un peu risqué. La gestion des incidents sur des circuits urbains n'est pas ce qu'il y a de plus facile et généralement, elle demande beaucoup d'expérience avant d'être réellement efficace. Ajoutez à ça, la nuit (sûre), la pluie (probable), l'absence de tests préparatoires et les inconnues sécuritaires s'empilent dans un domaine où l'à peu près n'est pas vraiment recommandé.
Sources:News-cardisiac.com
Mais l'enthousiasme (relatif, disons plutôt l'absence d'inquiétude) qui a prévalu lors des premiers tests s'émousse petit à petit chez les pilotes. Le GPDA, par la voix de Jarno Trulli, s'en fait l'écho.
En fait, c'est le manque de tests in situ qui inquiète l'association des pilotes.
"Nous sommes assez soucieux. Nous allons courir là-bas mais nous n'avons jamais testé la piste et nous n'avons aucune idée de comment cela va se passer. Cela va être une course de nuit qui se déroulera pendant la saison des pluies, et franchement, ce n'est pas exactement ce qu'il y a de mieux d'un point de vue sécurité. Cela ne met pas vraiment en confiance."
Et ce ne sont pas les bons retours des pilotes de Moto GP qui ont disputé l'épreuve du Qatar de nuit qui rassurent Jarno Trulli :
" Le fait qu'il n'y ait pas eu d'incidents majeurs ne veut rien dire car piloter une moto n'a rien à voir avec le pilotage d'une F1. Et ils ont couru sur un vrai circuit alors que, nous, nous serons sur une piste tracée en ville. Ils avaient des dégagements, nous aurons des murs !"
Outre la crainte légitime des pilotes de découvrir autant de nouveautés sur une seule épreuve, on peut effectivement se demander si le cumul des situations à risques sur une épreuve inaugurale n'est pas un peu risqué. La gestion des incidents sur des circuits urbains n'est pas ce qu'il y a de plus facile et généralement, elle demande beaucoup d'expérience avant d'être réellement efficace. Ajoutez à ça, la nuit (sûre), la pluie (probable), l'absence de tests préparatoires et les inconnues sécuritaires s'empilent dans un domaine où l'à peu près n'est pas vraiment recommandé.
Sources:News-cardisiac.com