Fernando Alonso n'a pas vraiment souri quand Sebastian Vettel a évoqué le scandale du Crashgate qui avait été déclanché après la victoire de l'Espagnol à Singapour en 2008.
Alonso a réussi sa deuxième pole position de la saison dans la Cité-État, samedi, devançant Sebastian Vettel. Mais un ange est passé lorsque Vettel, en conférence de presse, a évoqué la victoire de son adversaire il y a deux ans, sachant qu'elle avait été le point de départ de l'affaire du Crashgate.
"Fernando était parti de la 15e place et cela ne l'avait pas empêché de gagner", a lancé l'Allemand. Tout le monde partait dans un grand éclat de rire, sauf... Alonso.
"Son visage est devenu de la couleur de sa Ferrari", précise ce matin David Tremayne dans "The Independent". L'affaire n'est pas oubliée.
Alonso a réussi sa deuxième pole position de la saison dans la Cité-État, samedi, devançant Sebastian Vettel. Mais un ange est passé lorsque Vettel, en conférence de presse, a évoqué la victoire de son adversaire il y a deux ans, sachant qu'elle avait été le point de départ de l'affaire du Crashgate.
"Fernando était parti de la 15e place et cela ne l'avait pas empêché de gagner", a lancé l'Allemand. Tout le monde partait dans un grand éclat de rire, sauf... Alonso.
"Son visage est devenu de la couleur de sa Ferrari", précise ce matin David Tremayne dans "The Independent". L'affaire n'est pas oubliée.