Gerhard Berger en est convaincu : Red Bull n'imposera pas de consignes alors que le championnat tire à sa fin, et ce au risque de perdre le championnat des pilotes.
Après le double abandon de l'équipe en Corée, Fernando Alonso en a profité pour prendre les commandes du classement. Le pilote Ferrari pourrait être titré au Brésil si les conditions sont bonnes.
Mais le déficit de Mark Webber ne compte que 11 points, tandis que celui de Sebastian Vettel monte à 25. Avec deux courses à compléter avant la finale, les chances de l'Australien sont de toute évidence supérieures à celles de l'Allemand.
Des voix de plus en plus nombreuses (voir ici, ici et ici par exemple) sont d'avis que Red Bull doit maintenant mettre tout son poids derrière Webber et non laisser ses pilotes se battre entre eux au risque de perdre le championnat.
Mais Berger ne croit pas que les patrons de Red Bull Racing voudront emprunter cette voie.
"Certaines équipes, comme Williams ou McLaren, opèrent comme une business", a-t-il expliqué à la télé autrichienne Servus TV. "Pour elles, une stratégie d'équipe qui maximise leur positionnement dans le championnat a du sens."
"Mais l'approche de Red Bull est très différente. Ils utilisent la Formule 1 comme plateforme pour promouvoir leur produit", soulignait-il. "Et d'un point de vue sportif en ce qui concerne les pilotes, que le meilleur gagne."
"Si je connais bien Dietrich Mateschitz (son ami et propriétaire de la marque Red Bull), il n'y a aucun doute sur cette approche. Et je crois que les fans vont apprécier. C'est du sport."
Berger a lancé une flèche en direction de Ferrari en sous-entendant que leur philosophie n'est pas "morale". Tandis que les pilotes Red Bull et McLaren se sont battus à armes égales jusqu'ici, Alonso bénéficie du soutien de son coéquipier depuis juillet. Du moins, de façon évidente.
"Ce n'est pas du sport si tout ce que vous faites pendant l'année ce sont des manœuvres tactiques", a jugé Berger.
Après le double abandon de l'équipe en Corée, Fernando Alonso en a profité pour prendre les commandes du classement. Le pilote Ferrari pourrait être titré au Brésil si les conditions sont bonnes.
Mais le déficit de Mark Webber ne compte que 11 points, tandis que celui de Sebastian Vettel monte à 25. Avec deux courses à compléter avant la finale, les chances de l'Australien sont de toute évidence supérieures à celles de l'Allemand.
Des voix de plus en plus nombreuses (voir ici, ici et ici par exemple) sont d'avis que Red Bull doit maintenant mettre tout son poids derrière Webber et non laisser ses pilotes se battre entre eux au risque de perdre le championnat.
Mais Berger ne croit pas que les patrons de Red Bull Racing voudront emprunter cette voie.
"Certaines équipes, comme Williams ou McLaren, opèrent comme une business", a-t-il expliqué à la télé autrichienne Servus TV. "Pour elles, une stratégie d'équipe qui maximise leur positionnement dans le championnat a du sens."
"Mais l'approche de Red Bull est très différente. Ils utilisent la Formule 1 comme plateforme pour promouvoir leur produit", soulignait-il. "Et d'un point de vue sportif en ce qui concerne les pilotes, que le meilleur gagne."
"Si je connais bien Dietrich Mateschitz (son ami et propriétaire de la marque Red Bull), il n'y a aucun doute sur cette approche. Et je crois que les fans vont apprécier. C'est du sport."
Berger a lancé une flèche en direction de Ferrari en sous-entendant que leur philosophie n'est pas "morale". Tandis que les pilotes Red Bull et McLaren se sont battus à armes égales jusqu'ici, Alonso bénéficie du soutien de son coéquipier depuis juillet. Du moins, de façon évidente.
"Ce n'est pas du sport si tout ce que vous faites pendant l'année ce sont des manœuvres tactiques", a jugé Berger.