Si l'aileron arrière ajustable ne permet pas d'ajouter au spectacle, il sera modifié en conséquence ou abandonné selon le cas. C'est ce qu'affirme Martin Whitmarsh.
Lorsqu'ils seront à moins d'une seconde d'une autre voiture, et seulement sur une section de piste préalablement choisie par la FIA, les pilotes pourront ajuster l'angle de l'aileron arrière et ainsi diminuer la charge. Le gain de vitesse pourrait représenter 15 km/h et faciliter en partie les dépassements.
Mais certains ont des doutes. Stefano Domenicali, le patron de Ferrari, se demande si doubler ne sera pas un peu trop facile et prévisible. Chez Red Bull, Christian Horner espère que les pilotes n'attendront pas le dernier tour pour doubler le leader sans que ce dernier ait l'opportunité de riposter.
D'autres sont plus optimistes. Le chef de l'ingénierie de McLaren, Paddy Lowe, a rappelé que la FIA et les équipes ont toute la latitude nécessaire pour modifier plusieurs paramètres si l'effet recherché n'est pas obtenu au cours des premières courses.
Martin Whitmarsh, bien que favorable au principe de l'aileron arrière ajustable, n'écarte pas le retour d'un aileron fixe. "Si cela s'avère un véritable désastre, et je ne crois pas que ce sera le cas, modifier son actionnement ou l'éliminer carrément sera très facile à accomplir", a dit le patron de McLaren lors d'un entretien avec Autosport.
Variété au niveau des attaques
"Je ne crois pas que les dépassements seront faciles car il y aura aussi des utilisateurs de SREC. Potentiellement, nous pourrions voir une attaque par aileron arrière ajustable contrecarrée par une défense SREC ", a-t-il élaboré. "Ou nous pourrions voir une attaque combinant l'aileron arrière ajustable et le SREC. Je crois que ce sera imprévisible. Il faut simplement s'assurer de trouver la bonne formule."
"Ce que les gens veulent, c'est de l'incertitude au niveau du résultat", ajoutait le défenseur du nouveau système. Parallèlement, le Britannique est d'avis que tout le débat sur les dépassements en F1 est quelque peu exagéré.
"Dans toutes les séries, doubler est difficile", a soutenu Whitmarsh. "Le phénomène est accentué en F1 vu le professionnalisme des équipes et la qualité des pilotes, alors cela devient encore plus difficile. Dans la plupart des autres catégories, les dépassements sont le résultat d'une erreur commise par le type en avant. Les erreurs sont moins fréquentes en F1."
Lorsqu'ils seront à moins d'une seconde d'une autre voiture, et seulement sur une section de piste préalablement choisie par la FIA, les pilotes pourront ajuster l'angle de l'aileron arrière et ainsi diminuer la charge. Le gain de vitesse pourrait représenter 15 km/h et faciliter en partie les dépassements.
Mais certains ont des doutes. Stefano Domenicali, le patron de Ferrari, se demande si doubler ne sera pas un peu trop facile et prévisible. Chez Red Bull, Christian Horner espère que les pilotes n'attendront pas le dernier tour pour doubler le leader sans que ce dernier ait l'opportunité de riposter.
D'autres sont plus optimistes. Le chef de l'ingénierie de McLaren, Paddy Lowe, a rappelé que la FIA et les équipes ont toute la latitude nécessaire pour modifier plusieurs paramètres si l'effet recherché n'est pas obtenu au cours des premières courses.
Martin Whitmarsh, bien que favorable au principe de l'aileron arrière ajustable, n'écarte pas le retour d'un aileron fixe. "Si cela s'avère un véritable désastre, et je ne crois pas que ce sera le cas, modifier son actionnement ou l'éliminer carrément sera très facile à accomplir", a dit le patron de McLaren lors d'un entretien avec Autosport.
Variété au niveau des attaques
"Je ne crois pas que les dépassements seront faciles car il y aura aussi des utilisateurs de SREC. Potentiellement, nous pourrions voir une attaque par aileron arrière ajustable contrecarrée par une défense SREC ", a-t-il élaboré. "Ou nous pourrions voir une attaque combinant l'aileron arrière ajustable et le SREC. Je crois que ce sera imprévisible. Il faut simplement s'assurer de trouver la bonne formule."
"Ce que les gens veulent, c'est de l'incertitude au niveau du résultat", ajoutait le défenseur du nouveau système. Parallèlement, le Britannique est d'avis que tout le débat sur les dépassements en F1 est quelque peu exagéré.
"Dans toutes les séries, doubler est difficile", a soutenu Whitmarsh. "Le phénomène est accentué en F1 vu le professionnalisme des équipes et la qualité des pilotes, alors cela devient encore plus difficile. Dans la plupart des autres catégories, les dépassements sont le résultat d'une erreur commise par le type en avant. Les erreurs sont moins fréquentes en F1."