Fernando Alonso n'a pas trouvé à son goût les pneus Pirelli. Il s'en est ouvert dans la presse, après la première journée d'essais à Valence.
"Ils se dégradent vite, surtout à l'arrière", a déclaré l'Espagnol dont la F150 était presque une seconde plus lente que la Red Bull, mardi soir à Valence.
Alonso a également confié au journal allemand Auto Motor und Sport qu'il avait du mal à mettre au point sa voiture parce qu'il manquait de trains de pneus Pirelli.
"Ils se dégradent vite, surtout à l'arrière", a déclaré l'Espagnol dont la F150 était presque une seconde plus lente que la Red Bull, mardi soir à Valence.
Alonso a également confié au journal allemand Auto Motor und Sport qu'il avait du mal à mettre au point sa voiture parce qu'il manquait de trains de pneus Pirelli.