Fernando Alonso a beau avoir signé le meilleur temps du jour, mercredi à Valence, il tient à souligner que les essais hivernaux ne permettent pas de mesurer la compétitivité de Ferrari envers ses rivales.
"Il est difficile de juger la compétitivité de la voiture car dans le passé, les charges de carburant étaient moindres. C'était plus facile à comparer", a-t-il observé. "Et auparavant, votre coéquipier était aussi présent (sur la piste)."
L'Espagnol est néanmoins satisfait de la fiabilité que démontre la nouvelle F150 : "Nous avons complété plus de 100 tours. Accumuler les kilomètres, c'était la priorité."
Le double champion du monde a continué son apprentissage de l'aileron arrière ajustable, en conjonction avec le système de récupération de l'énergie cinétique. Cela ne s'apprend pas en quelques minutes.
"Ce n'est pas très facile à activer (sur la ligne droite) ni à déactiver avant d'arriver au virage, mais il nous reste du temps pour pratiquer. Même chose pour le SREC", a dit Alonso. "Il faut du temps pour s'habituer aux boutons supplémentaires sur le volant."
"Il est difficile de juger la compétitivité de la voiture car dans le passé, les charges de carburant étaient moindres. C'était plus facile à comparer", a-t-il observé. "Et auparavant, votre coéquipier était aussi présent (sur la piste)."
L'Espagnol est néanmoins satisfait de la fiabilité que démontre la nouvelle F150 : "Nous avons complété plus de 100 tours. Accumuler les kilomètres, c'était la priorité."
Le double champion du monde a continué son apprentissage de l'aileron arrière ajustable, en conjonction avec le système de récupération de l'énergie cinétique. Cela ne s'apprend pas en quelques minutes.
"Ce n'est pas très facile à activer (sur la ligne droite) ni à déactiver avant d'arriver au virage, mais il nous reste du temps pour pratiquer. Même chose pour le SREC", a dit Alonso. "Il faut du temps pour s'habituer aux boutons supplémentaires sur le volant."