L'inquiétude grandit concernant la tenue du Grand Prix de Bahreïn, première course de la saison, le 13 mars, après le report des essais GP2 Asia sur le circuit de Sakhir.
Après plusieurs jours de manifestations dans le royaume du Golfe, les personnels médicaux, occupés dans les hôpitaux, n'ont pu se rendre au circuit, qui a forcé les organisateurs à reporter les essais de 24 heures.
Le président de la FIA Jean Todt a déclaré : "J'essaie toujours de ne pas sur-réagir. Il va de soit que l'essentiel est la sécurité, en course, sur la route et au sein de la FIA. C'est ce que nous demandons mais, pour le moment, il n'y a pas de raison de s'inquiéter outre-mesure".
La sécurité d'abord
''La sécurité des citoyens de Bahreïn, des étrangers et des visiteurs doit être la priorité en tous temps'', a déclaré un porte-parole du circuit de Bahreïn. 'Nous suivons la situation de très près en coordination avec les autorités.''
Cependant, CNN rapporte que les 24 dernières heures ont été particulièrement violentes. Les heurts entre policiers et manifestants auraient fait trois morts.
Après plusieurs jours de manifestations dans le royaume du Golfe, les personnels médicaux, occupés dans les hôpitaux, n'ont pu se rendre au circuit, qui a forcé les organisateurs à reporter les essais de 24 heures.
Le président de la FIA Jean Todt a déclaré : "J'essaie toujours de ne pas sur-réagir. Il va de soit que l'essentiel est la sécurité, en course, sur la route et au sein de la FIA. C'est ce que nous demandons mais, pour le moment, il n'y a pas de raison de s'inquiéter outre-mesure".
La sécurité d'abord
''La sécurité des citoyens de Bahreïn, des étrangers et des visiteurs doit être la priorité en tous temps'', a déclaré un porte-parole du circuit de Bahreïn. 'Nous suivons la situation de très près en coordination avec les autorités.''
Cependant, CNN rapporte que les 24 dernières heures ont été particulièrement violentes. Les heurts entre policiers et manifestants auraient fait trois morts.