Réunies vendredi soir à Barcelone, les équipes de F1 ont évoqué plusieurs scénarios qui pourraient découler de l'annulation des essais de pré-saison à Bahreïn (3-6 mars) et du Grand Prix de Bahreïn, première course de la saison, le 13 mars.
L'escalade de la violence dans le royaume du Golfe, hier après-midi, avec des tirs à balles réelles de la police sur la foule des manifestants, a rapidement mobilisé tout le personnel médical présent dans ce petit État de 700 000 habitants qui est en train de vivre une tragédie et pour lequel le sport est naturellement passé au second plan.
Le manque de médecins avait porté les organisateurs à annuler, jeudi, les courses GP2 Asia qui étaient prévues ce week-end. Il semble maintenant peu probable qu'un retour à la normale puisse s'opérer pour le 3 mars, date de la première séance d'essais privée à Sakhir. La Formula One Teams' Association (FOTA, Association des équipes de F1) en a convenu vendredi soir, lors de sa réunion, et commencé à chercher des alternatives.
Le Castellet évoqué
Barcelone ou Jerez pourraient servir de destination de remplacement pour les essais privés afin d'arriver aux 15 jours prévus par le règlement. Selon le journal Autosport, Abou Dhabi, Silverstone et Le Castellet sont envisagés mais dans une moindre mesure en raison de la météo. Cette dernière option marquerait le retour des F1 en France pour la première fois depuis la victoire de Felipe Massa à Magny-Cours en 2008.
Si le Grand Prix est annulé, alors d'autres essais privés pourraient le remplacer exceptionnellement en attendant la première course de la saison, Melbourne, le 27 mars. L'incertitude vient des petites équipes qui pourraient ne pas avoir les moyens de changer leurs plans sur une si courte échéance.
Les équipes ont également de manière unanime déclaré qu'elles se plieraient à la décision de la FIA et de la FOM qui est attendue "mardi ou mercredi", selon le président de la FOM Bernie Ecclestone, sur la tenue du Grand Prix.
L'escalade de la violence dans le royaume du Golfe, hier après-midi, avec des tirs à balles réelles de la police sur la foule des manifestants, a rapidement mobilisé tout le personnel médical présent dans ce petit État de 700 000 habitants qui est en train de vivre une tragédie et pour lequel le sport est naturellement passé au second plan.
Le manque de médecins avait porté les organisateurs à annuler, jeudi, les courses GP2 Asia qui étaient prévues ce week-end. Il semble maintenant peu probable qu'un retour à la normale puisse s'opérer pour le 3 mars, date de la première séance d'essais privée à Sakhir. La Formula One Teams' Association (FOTA, Association des équipes de F1) en a convenu vendredi soir, lors de sa réunion, et commencé à chercher des alternatives.
Le Castellet évoqué
Barcelone ou Jerez pourraient servir de destination de remplacement pour les essais privés afin d'arriver aux 15 jours prévus par le règlement. Selon le journal Autosport, Abou Dhabi, Silverstone et Le Castellet sont envisagés mais dans une moindre mesure en raison de la météo. Cette dernière option marquerait le retour des F1 en France pour la première fois depuis la victoire de Felipe Massa à Magny-Cours en 2008.
Si le Grand Prix est annulé, alors d'autres essais privés pourraient le remplacer exceptionnellement en attendant la première course de la saison, Melbourne, le 27 mars. L'incertitude vient des petites équipes qui pourraient ne pas avoir les moyens de changer leurs plans sur une si courte échéance.
Les équipes ont également de manière unanime déclaré qu'elles se plieraient à la décision de la FIA et de la FOM qui est attendue "mardi ou mercredi", selon le président de la FOM Bernie Ecclestone, sur la tenue du Grand Prix.