Si le Grand Prix de Bahreïn est annulé, il y a peu de chances que la F1 se déplace vers un autre circuit le week-end du 13 mars. C'est l'avis du patron de Virgin Racing, John Booth.
Les derniers essais pré-saison doivent avoir lieu sur le Bahrain International Circuit du 3 au 6 mars, soit une semaine avant la première course de la saison au même endroit. Pour cette raison, Booth croit qu'il serait "peu pratique" d'organiser une course ailleurs pour remplacer le GP de Bahreïn.
"Notre fret maritime, comme celui des autres équipes, a quitté en direction de Bahreïn il y a déjà un mois", a-t-il expliqué à la BBC. "Une bonne partie de cet équipement est nécessaire au fonctionnement des voitures. Alors courir ailleurs serait très difficile."
Les rumeurs parlent de déplacer la F1 vers Barcelone ou Abou Dhabi. Mais mis à part la question du fret, il y a aussi le cauchemar logistique que représenteraient l'organisation précipitée d'un Grand Prix et le déplacement des médias et leur équipement de transmission.
Évaluer les risques
Bien qu'il trouve la situation à Bahreïn, où le mouvement contestataire fait face à une répression violente, "très troublante", Booth et ses confrères se rendront à Sakhir si le feu vert est donné.
"Si le gouvernement, FOM et la FIA disent qu'il est sûr de s'y rendre, alors nous irons", a dit le Britannique. "Nous leur ferons confiance. Ils auront des gens sur place pour évaluer la situation et je suis sûr qu'ils sont bien informés des risques."
Booth est d'avis qu'une décision concernant les derniers essais pré-saison doit être prise le 25 février au plus tard, date à laquelle les écuries devront expédier une autre cargaison d'équipement.
Bernie Ecclestone a déjà annoncé que le cas du Grand Prix de Bahreïn sera évalué au plus tard la semaine prochaine.
Les derniers essais pré-saison doivent avoir lieu sur le Bahrain International Circuit du 3 au 6 mars, soit une semaine avant la première course de la saison au même endroit. Pour cette raison, Booth croit qu'il serait "peu pratique" d'organiser une course ailleurs pour remplacer le GP de Bahreïn.
"Notre fret maritime, comme celui des autres équipes, a quitté en direction de Bahreïn il y a déjà un mois", a-t-il expliqué à la BBC. "Une bonne partie de cet équipement est nécessaire au fonctionnement des voitures. Alors courir ailleurs serait très difficile."
Les rumeurs parlent de déplacer la F1 vers Barcelone ou Abou Dhabi. Mais mis à part la question du fret, il y a aussi le cauchemar logistique que représenteraient l'organisation précipitée d'un Grand Prix et le déplacement des médias et leur équipement de transmission.
Évaluer les risques
Bien qu'il trouve la situation à Bahreïn, où le mouvement contestataire fait face à une répression violente, "très troublante", Booth et ses confrères se rendront à Sakhir si le feu vert est donné.
"Si le gouvernement, FOM et la FIA disent qu'il est sûr de s'y rendre, alors nous irons", a dit le Britannique. "Nous leur ferons confiance. Ils auront des gens sur place pour évaluer la situation et je suis sûr qu'ils sont bien informés des risques."
Booth est d'avis qu'une décision concernant les derniers essais pré-saison doit être prise le 25 février au plus tard, date à laquelle les écuries devront expédier une autre cargaison d'équipement.
Bernie Ecclestone a déjà annoncé que le cas du Grand Prix de Bahreïn sera évalué au plus tard la semaine prochaine.