Après celui de Fernando Alonso, samedi, d'autres confirment que le pneu Pirelli pourrait faciliter les dépassements.
Selon Alonso, qui est maintenant habitué au SREC et à l'aileron arrière ajustable, "rien ne contribuera plus aux dépassements, cette saison, que les pneus". "Lorsque vous passez de nouvelles gommes, il peut y avoir un écart de 6" par tour."
Le pilote Red Bull Mark Webber est d'accord mais se demande si cela va forcément rendre les Grands Prix plus excitants.
"Je pense qu'il y aura plus de dépassements", a-t-il confié à Auto Motor und Sport. "Mais parfois, ce sera comme passer une voiture à l'arrêt. Alors je ne sais pas si cela fera plus de spectacle."
Pour le directeur général de McLaren Jonathan Neale, les pneus Pirelli vont donner une nouvelle dimension à la course. "Avec deux secondes au tour de différence pour qui chausse de nouveaux pneus, le spectacle sera forcément au rendez-vous", a déclaré le dirigeant.
S'usent-ils trop vite ?
Des craintes sont aussi été émises sur la durabilité des pneus. À vouloir faire en sorte qu'ils s'usent pour créer des différences dans les temps au tour, peuvent-ils s'user trop vite et faire en sorte que les pilotes passent au stand quatre ou cinq fois par course ?
"Trois arrêts sera le maximum", promet à nouveau le patron de Pirelli Paul Hembery à El Pais. "Et dans la plupart des cas, ce sera deux."
Hembery a ajouté que les équipes ont rapporté de fortes dégradations des pneus sur les pistes des essais de pré-saison, en Espagne, parce que ces dernières sont abrasives et les températures ambiantes étaient fraîches.
"Sur ce que j'ai vu", a déclaré Alonso à EFE, "Je crois qu'il y aura plus de dépassements mais pas à tous les virages. Il sera peut-être plus facile de doubler des voitures lentes mais, entre les quatre écuries de tête; rien ne changera vraiment."
Selon Alonso, qui est maintenant habitué au SREC et à l'aileron arrière ajustable, "rien ne contribuera plus aux dépassements, cette saison, que les pneus". "Lorsque vous passez de nouvelles gommes, il peut y avoir un écart de 6" par tour."
Le pilote Red Bull Mark Webber est d'accord mais se demande si cela va forcément rendre les Grands Prix plus excitants.
"Je pense qu'il y aura plus de dépassements", a-t-il confié à Auto Motor und Sport. "Mais parfois, ce sera comme passer une voiture à l'arrêt. Alors je ne sais pas si cela fera plus de spectacle."
Pour le directeur général de McLaren Jonathan Neale, les pneus Pirelli vont donner une nouvelle dimension à la course. "Avec deux secondes au tour de différence pour qui chausse de nouveaux pneus, le spectacle sera forcément au rendez-vous", a déclaré le dirigeant.
S'usent-ils trop vite ?
Des craintes sont aussi été émises sur la durabilité des pneus. À vouloir faire en sorte qu'ils s'usent pour créer des différences dans les temps au tour, peuvent-ils s'user trop vite et faire en sorte que les pilotes passent au stand quatre ou cinq fois par course ?
"Trois arrêts sera le maximum", promet à nouveau le patron de Pirelli Paul Hembery à El Pais. "Et dans la plupart des cas, ce sera deux."
Hembery a ajouté que les équipes ont rapporté de fortes dégradations des pneus sur les pistes des essais de pré-saison, en Espagne, parce que ces dernières sont abrasives et les températures ambiantes étaient fraîches.
"Sur ce que j'ai vu", a déclaré Alonso à EFE, "Je crois qu'il y aura plus de dépassements mais pas à tous les virages. Il sera peut-être plus facile de doubler des voitures lentes mais, entre les quatre écuries de tête; rien ne changera vraiment."