Felipe Massa, confiant de revenir en force cette saison, espère que ses résultats permettront au public d'oublier la saga des consignes d'équipe du Grand Prix d'Allemagne 2010.
Le Brésilien se sent très à l'aise avec les nouveaux pneus Pirelli, ce qui n'était pas le cas l'an dernier avec les gommes Bridgestone. Ajoutez à cela une bonne dose de motivation et une Ferrari F150th Italia à la fiabilité remarquable. Pour Massa, presque titré lors d'une finale dramatique à Interlagos en 2008, le championnat 2011 l'inspire déjà.
Mais l'été dernier, lors du GP d'Allemagne à Hockenheim, Ferrari lui a fait comprendre qu'il devait céder les commandes d'une course qu'il menait depuis le début. Fernando Alonso, qui n'arrivait pas à le dépasser autrement, filait devant et remportait la victoire sous les regards d'une foule mécontente.
Il est vrai qu'Alonso avait alors plusieurs points d'avance sur son coéquipier et que Massa connaissait une année difficile. Mais pour plusieurs, le natif de Sao Paulo avait encore accepté un second rang au sein de l'équipe. Il veut mettre un terme à cette réputation une fois pour toutes.
Le souvenir des consignes
Ferrari a promis l'égalité entre ses pilotes, du moins en début de saison. Mais dans l'esprit de maints observateurs, la décision prise à Hockenheim ne faisait que confirmer leurs doutes sur le véritable rapport de force à Maranello.
"Les gens se souviennent d'événements aussi importants", admet Massa au journal O Estado de S.Paulo, en référence au 49e tour du GP d'Allemagne 2010. "On oublie une victoire beaucoup plus facilement."
"Mais ce n'est pas quelque chose qui me préoccupe ou qui m'empêchera de me battre aussi souvent que possible pour des victoires. Ni pour le championnat", précise-t-il.
C'est "sans aucun doute" que Massa reconnaît le dommage fait à sa réputation après cet épisode, en particulier parmi ses compatriotes brésiliens. "Mais, malgré tout ce qui est arrivé, j'ai encore du soutien, surtout dans mon pays. Si j'étais au restaurant ou si je marchais dans la rue, personne ne me félicitait bien sûr, mais on m'encourageait à persévérer. Cela m'a beaucoup aidé."
Toutefois, il connaît bien les règles du jeu : "De bons résultats font toujours la différence entre la critique et les louanges."
Le Brésilien se sent très à l'aise avec les nouveaux pneus Pirelli, ce qui n'était pas le cas l'an dernier avec les gommes Bridgestone. Ajoutez à cela une bonne dose de motivation et une Ferrari F150th Italia à la fiabilité remarquable. Pour Massa, presque titré lors d'une finale dramatique à Interlagos en 2008, le championnat 2011 l'inspire déjà.
Mais l'été dernier, lors du GP d'Allemagne à Hockenheim, Ferrari lui a fait comprendre qu'il devait céder les commandes d'une course qu'il menait depuis le début. Fernando Alonso, qui n'arrivait pas à le dépasser autrement, filait devant et remportait la victoire sous les regards d'une foule mécontente.
Il est vrai qu'Alonso avait alors plusieurs points d'avance sur son coéquipier et que Massa connaissait une année difficile. Mais pour plusieurs, le natif de Sao Paulo avait encore accepté un second rang au sein de l'équipe. Il veut mettre un terme à cette réputation une fois pour toutes.
Le souvenir des consignes
Ferrari a promis l'égalité entre ses pilotes, du moins en début de saison. Mais dans l'esprit de maints observateurs, la décision prise à Hockenheim ne faisait que confirmer leurs doutes sur le véritable rapport de force à Maranello.
"Les gens se souviennent d'événements aussi importants", admet Massa au journal O Estado de S.Paulo, en référence au 49e tour du GP d'Allemagne 2010. "On oublie une victoire beaucoup plus facilement."
"Mais ce n'est pas quelque chose qui me préoccupe ou qui m'empêchera de me battre aussi souvent que possible pour des victoires. Ni pour le championnat", précise-t-il.
C'est "sans aucun doute" que Massa reconnaît le dommage fait à sa réputation après cet épisode, en particulier parmi ses compatriotes brésiliens. "Mais, malgré tout ce qui est arrivé, j'ai encore du soutien, surtout dans mon pays. Si j'étais au restaurant ou si je marchais dans la rue, personne ne me félicitait bien sûr, mais on m'encourageait à persévérer. Cela m'a beaucoup aidé."
Toutefois, il connaît bien les règles du jeu : "De bons résultats font toujours la différence entre la critique et les louanges."