Mark Webber s'est prononcé contre l'idée d'arroser les circuits artificiellement, question d'ajouter davantage d'imprévisibilité aux courses.
Bernie Ecclestone n'est pas convaincu que l'aileron arrière ajustable aura l'effet voulu pour agrémenter le spectacle. Il y a quelques jours, le grand patron de la F1 a donc proposé d'arroser la piste à intervalles plus ou moins réguliers, ou pendant les dix derniers tours de l'épreuve, parce que "les courses sont totalement différentes lorsqu'il pleut."
Bien que les GP courus sous la pluie soient souvent spectaculaires, l'idée de créer de telles conditions de manière artificielle à été accueillie avec surprise. Le pneumaticien Pirelli est à l'origine de cette suggestion et certains ont appuyé le concept, mais vous avez été nombreux à dénoncer cette idée sur notre page Facebook.
Webber se joint à la majorité d'entre vous en affirmant qu'un scénario de pluie artificielle ne serait rien de moins qu'une insulte à la catégorie reine et à son histoire.
"Bien sûr, cela peut devenir plus excitant lorsque les conditions météo sont changeantes", a dit le pilote Red Bull à la BBC. "Mais il suffit de penser à Jimmy Clark, Jackie Stewart et Ayrton Senna qui étaient des maîtres sous la pluie. Jackie est toujours parmi nous, mais les deux autres doivent se retourner dans leurs tombes à l'idée de voir un système d'arrosage en bordure de piste."
"Ce ne serait pas la plus sophistiquée des méthodes pour améliorer le spectacle", a-t-il ajouté.
Ecclestone en remet
La veille, sur les ondes de cette même station, Ecclestone a élaboré sur son projet : "L'idée, ce serait de faire en sorte que personne ne sache vraiment ce qui va arriver. (L'arrosage) débuterait à tout moment pendant la course. Ce serait comme de la pluie. Cela pourrait cesser et peut-être reprendre plus tard, ou peut-être pas. Personne ne le saurait à l'avance."
On imagine déjà le tollé que provoquerait une telle manipulation de la course, même si cela s'appliquerait à tous les pilotes en piste. Mais pour le moment, Ecclestone défend son idée.
Bernie Ecclestone n'est pas convaincu que l'aileron arrière ajustable aura l'effet voulu pour agrémenter le spectacle. Il y a quelques jours, le grand patron de la F1 a donc proposé d'arroser la piste à intervalles plus ou moins réguliers, ou pendant les dix derniers tours de l'épreuve, parce que "les courses sont totalement différentes lorsqu'il pleut."
Bien que les GP courus sous la pluie soient souvent spectaculaires, l'idée de créer de telles conditions de manière artificielle à été accueillie avec surprise. Le pneumaticien Pirelli est à l'origine de cette suggestion et certains ont appuyé le concept, mais vous avez été nombreux à dénoncer cette idée sur notre page Facebook.
Webber se joint à la majorité d'entre vous en affirmant qu'un scénario de pluie artificielle ne serait rien de moins qu'une insulte à la catégorie reine et à son histoire.
"Bien sûr, cela peut devenir plus excitant lorsque les conditions météo sont changeantes", a dit le pilote Red Bull à la BBC. "Mais il suffit de penser à Jimmy Clark, Jackie Stewart et Ayrton Senna qui étaient des maîtres sous la pluie. Jackie est toujours parmi nous, mais les deux autres doivent se retourner dans leurs tombes à l'idée de voir un système d'arrosage en bordure de piste."
"Ce ne serait pas la plus sophistiquée des méthodes pour améliorer le spectacle", a-t-il ajouté.
Ecclestone en remet
La veille, sur les ondes de cette même station, Ecclestone a élaboré sur son projet : "L'idée, ce serait de faire en sorte que personne ne sache vraiment ce qui va arriver. (L'arrosage) débuterait à tout moment pendant la course. Ce serait comme de la pluie. Cela pourrait cesser et peut-être reprendre plus tard, ou peut-être pas. Personne ne le saurait à l'avance."
On imagine déjà le tollé que provoquerait une telle manipulation de la course, même si cela s'appliquerait à tous les pilotes en piste. Mais pour le moment, Ecclestone défend son idée.